Lucie, mon amour - Histoires de Sexe

Lucie, mon amour

... bureau, pile en face de nous, s’éclaira un court moment pour retomber dans l’obscurité.- WOW ! Arrête ! Je crois qu’il y a quelqu’un qui regarde.- Où ça ?Levant les yeux vers moi, je distinguais un filet de salive reliant mon gland à son adorable lèvre.- Là, le bureau en face, j’ai vu de la lumière et ça c’est éteint.- Ba, il est parti alors. Rétorqua-t-elle en me reprenant en bouche.- Non, sérieux ! S’il a regardé la fenêtre, il est obligé de nous avoir vu !Enfin, elle se releva.- Tu crois qu’il est là, dans le noir ?- Si je voulais me mater une petite baise, pénard, c’est ce que je ferais en tout cas. Viens, on rentre.- Non, attends… c’est excitant, tu trouves pas ?Face à la rue, elle ouvrit son peignoir et exhiba sa poitrine. Les prenant en main, elle les lécha l’un après l’autre, s’amusa à les malaxer, les presser puis, toujours à moitié dénudée, repris sa fellation. Une main à la base de mon chibre, elle me suça, vigoureusement, reprenait son souffle lors d’une branlette rapide. J’eu peur qu’elle s’étouffe en essayant d’atteindre mes couilles mais elle y réussi, pourtant, quelques secondes avant de rejeter sa tête pour cracher son trop-plein de salive.Il est vrai que les barreaux de la rambarde, la camouflait bien un peu mais la scène était sans équivoque. Elle avait raison, c’était purement excitant.Une fois la gâterie finie, mon sperme dûment avalé, elle se relava et ...

... s'essuyant, d’un doigt léger, le coin de la bouche, elle fît un petit au revoir de sa main fine à la fenêtre noire, en éclatant de rire.Nous fîmes encore plusieurs fois l’amour durant cette folle nuit de plaisirs. Adoptants toutes les positions qui nous venaient à l’esprit, je crois bien avoir goûté au moindre centimètre carré de son corps avant de s’endormir épuisés, nos sexes irrités, au petit matin.C’est pourtant, sans surprise, que je me réveillais seul. Nu, je me rendis dans sa chambre. Ses affaires n’y étaient plus, un mot m’attendait dans le salon.« Coucou !Encore une fois, je ne regrette rien. J’ai adoré !!!!!! Mais ça va être dur de faire comme si rien ne s’était passé, cette fois. Je suis sûre que tu comprends.Ne m’en veux pas s’il te plaît. On se verra des fois chez Papa et on se donne des nouvelles de temps en temps, promis, mais c’est tout.Bises.PS : Bises sur ta queue, je voulais dire !»Bien sûr que je la comprenais, on n’aurait jamais pu être amants. J’avais perdu son amitié au prix de la plus fantastique baise que j’ai jamais eu et à ce titre, je ne regrettais rien non plus.Regagnant ma chambre, un détail me revient à l’esprit. Elle m’avait précisé que c’était son copain qui lui avait demandé de s’épiler. C’est donc qu’elle est en couple. Lucie, mon adorable Salope. Je me demande s’il apprécie, autant que moi, de lécher ce petit grain de beauté, proche de son anus.