Lucie, mon amour - Histoires de Sexe

Lucie, mon amour

Serge et moi, on est amis depuis la maternelle. Rien de plus normal d’accepter que je sois le parrain de sa fille. Dès qu’elle a été en âge, je l’emmenai à Disney, le parc Astérix, des visites sur Paris. On a passé des bons moments ensemble.A l’adolescence, elle m’a un peu oublié, normal. Je la regardais néanmoins, s’épanouir, devenir femme. Il est clair qu’elle tenait de sa mère, des formes voluptueuses, une poitrine plus que généreuse. J’étais très fier d’elle. Une vraie beauté. Plus grande, elle apprécia de revenir me voir et surtout profiter de mon appartement Parisien. Je ne lui en tenais pas rigueur, au contraire. A une soirée avec des collègues où elle était présente, l’un deux vient me voir, assez gêné.- Le prends pas mal mais Lucie..- Quoi ?- Ba.. Elle a un sacré décolleté et… Bon c’est dur de lui parler dans les yeux, quoi..- Elle a à peine vingt ans, t’as trop picolé toi.- Ouais, ouais.. Ok. Mais bon, c’est pas facile quand même…Me rendant sur le balcon où elle se tenait assise en tailleur parmi d’autres, j’ai compris. Elle ne portait qu’un petit marcel échancré qui ne cachait rien de la fraîcheur de son corps. A quel moment s’était-elle changée ? Je n’avais rien remarqué.Il n’empêche que la grosseur de ses seins, la couleur de pêche de sa peau, ses lèvres bombées comme une framboise en auraient fait bander plus d’un, je le reconnais. Elle riait, discutait à l’aise, sans se préoccuper de son décolleté plus que provoquant.Je me suis fais chambrer par les autres en ...

... lui balançant un pull pour qu’elle n’est pas froid. « TONTON-POULE » crièrent-ils, amusés de son regard énervé.Après tout, elle n’était que dans la recherche de sa séduction. Découvrait encore le regard des hommes sur son corps. Comment le lui reprocher ? Petite effrontée de sale gosse, elle m’a renvoyé ce satané pull, devant tout le monde, en rétorquant qu’elle était assez grande pour savoir si elle avait froid. Je me sentais con, je ne comprenais rien aux jeunes d’aujourd’hui, c’est tout.Une fois tout le monde partie, elle m’aida à ranger la cuisine. Je sentais bien qu’elle me faisait la gueule.- Ecoutes, bon, désolé pour le pull.- Tu m’as foutu la honte devant tout le monde ! J’suis plus une gosse, ok ?- Oui bien sûr, je sais bien mais..- Quoi, mais ???- Ba, comme tu dis, t’es une plus une gosse alors, tu dois faire attention à ton look, c’est tout. Ton tee-shirt, là, on voit tout !- Et alors ? Dit-elle en prenant ses seins en main. Les pressant l’un contre l’autre, elle s’amusa à les faire tourner. J’ai des gros nichons, c’est pas ma faute.J’étais fasciné par la ligne qui ondulait aux mouvements de ses mains. Des gros seins lourds, fermes. A se caresser, elle en souleva son marcel et découvrit son petit ventre bombé. Je ne pouvais m’empêcher de fixer son nombril, j’imaginais de larges tétons orner sa poitrine de rêve. Je bandais comme un malade.C’est vrai qu’on avait bu tout les deux. Ce n’était qu’une petite fête entre collègues mais il y a toujours de l’alcool. Elle a ...