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Natasha & Franck (5)
Datte: 04/09/2020, Catégories: Transexuels
... facettes de sa sexualité. Elle avait fait face à tout cela de manière très posée mais il lui fallait maintenant intégrer et digérer toutes ces nouvelles informations. Le lundi matin, le réveil fut douloureux. D’abord parce que je n’ai jamais été quelqu’un qui se lève naturellement tôt. Mais j’avais l’impression qu’il me manquait au moins une quinzaine de nuits de sommeil. Les collègues se moquaient de la tête que je faisais. C’était de bonne guerre. J’aurais pu leur expliquer que je m’étais vidé les couilles tout le week-end avec une fille et sa mère à un point tel que j’aurais pu prétendre à une aide de l’état pour sécheresse exceptionnelle, sans donner de noms, mais je préférais rester muet comme une carpe sur le sujet. Un collègue me proposa de prendre un bout de ma tournée qui était limitrophe avec la sienne et me faisait faire un détour incongru. Je venais de gagner une petite demi-heure ! En voiture, je mettais la musique à fond pour me tenir éveillé. Toute personne qui m’offrait une tasse de café était bienvenue. J’élaguais mon parcours, les maisons distantes où il n’y avait que de la pub attendraient le jour suivant pour me voir. J’arrivais ainsi à gagner encore une demi-heure. J’évitais de passer chez Marie, pas question de risquer de me faire alpaguer par les deux nymphomanes. Elles étaient bien capables de commettre un hold-up dans ma banque du sperme ! Il était à peine plus de midi quand je finissais le boulot. Dix minutes plus tard, j’étais de retour dans ...
... l’antre de la luxure. Visiblement, ma tête n’avait pas trop changée depuis ce matin. Les remarques de Marie et Françoise étaient à peu près les mêmes que celles des collègues. A la différence qu’elles connaissaient la cause. J’étais comme un coq en pâte, certes elles m’embrassaient toutes les deux, mais toujours très sagement. J’avais même droit à quelques massages et dès que le repas fut terminé, elles m’envoyèrent faire la sieste. Marie restait mais se contentait de se blottir contre moi. Le contact de son merveilleux fessier me déclenchait immédiatement une érection, mais je m’endormais en quelques secondes. Marie était plongée dans ses livres quand j’émergeais. Il était seize heures passé. Françoise me proposait de boire un thé puis d’aller promener Benjix, en tout bien tout honneur, pendant que sa fille continuait d’étudier. A sa manière de présenter la chose, je comprenais qu’elle avait plus envie d’un tête-à-tête pour discuter que d’une partie de jambes en l’air en forêt. Ne sachant pas sur quel sujet elle voulait m’entretenir, je lui posais une question qui me turlupinait. Comment faisait-elle pour que le chien ne lui saute pas dessus n’importe quand et lui ruine son secret. « Je l’ai dressé jeune. Quand au début il essayait de me grimper dessus, on pouvait mettre cela sur le compte de la fougue de sa jeunesse. Et comme il s’est montré plus sage au fil des mois, ça n’a intrigué personne. Encore moins Gérard qui doit être aveugle de naissance… En fait quand je veux avoir un ...