1. Natasha & Franck (5)


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Transexuels

    ... failli s’affaler et se retint de justesse sur le bord de la niche. Le chien se régalait. Si il devait avoir l’habitude de lécher Françoise, il avait là un menu inédit… et copieux ! Accoudée à la niche, elle tendait les fesses à la langue animale. Il prenait certainement la position pour une invitation à grimper sur son dos. Marie paniqua. Françoise attrapa le berger allemand et lui offrait sa chatte encore gluante de mon sperme. « Franck ! Eloigne Marie. Avec sa fougue Benjik pourrait la déflorer et elle n’a pas le cul encore assez souple pour prendre le nœud… -Tu veux dire…. Tu as donc l’habitude toi ? » umkuwwnd Françoise s’était ainsi trahie. Et dire que j’avais tout fait pour garder le secret ! C’était bien la première fois que je voyais Marie choquée. Mais elle ne détournait pas les yeux du spectacle. Françoise entreprit de dégager le sexe du chien de son fourreau. « Putain quel morceau ! s’exclama Marie. » Elle se remettait très vite du choc, sa curiosité naturelle reprenait le dessus. Elle était subjuguée par ce qu’elle voyait. Instinctivement, elle passait une main entre ses cuisses. Sa mère se mit à quatre pattes. Le berger allemand vint se positionner derrière elle. Il grimpait sur son dos et aussitôt il lui enserrait la taille entre ses pattes, pointant son sexe à la recherche de l’entrée. En quelques secondes il se planta dans le vagin de Françoise, la pilonnant bestialement. J’observais Marie. Ses lèvres étaient luisantes de cyprine. Elle s’en donnait la peine. ...
    ... Elle s’astiquait le clitoris plus vite qu’Eddie Van Halen passait les notes sur le manche de sa guitare en jouant « Eruption ». Le sexe du chien continuait de grossir, la boule enflait outrageusement. « Hey, c’est quoi ce truc ? demanda Marie, effarée » Françoise expliquait à sa fille les fondements de la fornication avec un chien. Marie s’approchait pour constater la grosseur du membre. «Tu avais raison, je ne pourrais pas prendre un truc pareil dans le cul.» Le chien se retournait. Il avait flairé l’odeur de Marie qui n’en finissait pas de jouir. Elle s’avança vers lui. Sa langue l’électrisait. Benjix lui faisait le grand nettoyage mais plus il la léchait et plus elle ruisselait. De mon coté, j’approchais ma queue du visage de Françoise qui ne se faisait pas prier pour l’engloutir. Elle me suçait consciencieusement. Malgré tout il me fallut du temps pour arriver à l’éjaculation. Ceci dit, elle en avait, du temps, jusqu’à ce que le berger allemand la libère. Nous étions tous les trois sur les rotules. J’avais hâte de reprendre le boulot, pour me reposer de ces deux furies. Bien que nous dormions encore tous les trois dans le même lit, la nuit fut calme. Cela avait été un week-end de débauche, dans tous les sens du terme. Nous avions tous dépensé notre énergie sans compter et il était bien normal de laisser nos corps récupérer. Et nos esprits par la même occasion. Marie avait fait tout de même de sacrées découvertes au sujet de sa mère. Elle avait aussi exploré de nouvelles ...
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