Natasha & Franck (5)
Datte: 04/09/2020,
Catégories:
Transexuels
... Etait-ce le même long orgasme ou en avait-elle plusieurs à la suite, impossible à dire. « Finalement, le cul de ma mère c’est un peu comme un anneau qui nous unirai, sauf que, au lieu d’en porter chacun un à un doigt, il n’y en a qu’un seul mais autour de nos poignets ! » Vu sous cet angle là, son argument était imparable. Marie m’embrassait avec fougue. Je l’aurais bien serrée contre moi, mais j’avais les mains prises ! A défaut, je serrais la main que je tenais. Françoise était dans un état second. Marie retirait sa main le plus délicatement possible ce qui soutirait encore des gémissements de plaisir à sa mère. Puis ce fut mon tour de me libérer. Françoise n’avait ni l’envie ni la force de bouger. Marie souhaitait que nous dormions tous les trois dans le même lit. Nous étions déjà dimanche et je n’aurais donc pas à me lever pour aller bosser. Françoise était tombée dans les bras de Morphée et nous n’allions pas tarder à l’y rejoindre. Marie me fit une dernière fellation, avalait consciencieusement puis me fit promettre de l’initier au fist-fucking. Je m’endormais entre les deux femmes en songeant au chemin parcouru dans leur relation. Il était onze heures passées quand je me réveillais. C’était la main de Françoise sur ma verge qui en fut la cause. Elle m’embrassa. « Vous m’avez démonté le cul tous les deux, je n’ai jamais pris un pied pareil. Mais il va falloir le laisser tranquille quelques temps. Et je te rappelle que je n’ai pas eu droit à ton sperme. Il faut que tu ...
... rattrapes ça. -S’il n’y a que ça pour te faire plaisir… -Non, il n’y a pas que ça, mais c’est un bon début. » J’étais allongé sur le dos, jambes repliées. Françoise, face à moi me chevauchait. Elle posait les mains sur mes genoux et montait et descendait le long de mon sexe. Elle donnait le rythme, relativement lent pour commencer. Petit à petit, ses va et viens étaient de plus en plus rapide. Le matelas qui bougeait et les petits cris de plaisir de Françoise finirent par avoir raison du sommeil de Marie. Son visage resplendissait. Elle se leva pour aller aux toilettes. Elle revint avec un sourire en coin. « Je n’ai pas essuyé mon minou mon chéri, je compte sur toi pour lui faire un bon nettoyage avec ta langue de chat ! » Elle s’installait face à sa mère, présentant sa chatte à ma bouche. Elle sentait fort le mélange d’urine et de surplus de cyprine de la veille. Effectivement, un brin de toilettage s’imposait. Pendant que je m’occupais de sa fente odorante, elle tripotait les seins lourds de sa mère qui se soulevaient au rythme de la chevauchée de la valkyrie. Françoise changea de position et se penchait en avant. Elle embrassait Marie à pleine bouche. Devant autant de lubricité, je ne pouvais qu’éjaculer. Ma bite toujours bien calée dans son antre, Françoise pivotait puis s’allongeait sur mon torse. Marie se positionnait pour un soixante-neuf avec sa mère. Elle lui léchait les lèvres et la base de ma bite. Elle attendait que ma verge ressorte pour la sucer et la remettre en ...