1. Natasha & Franck (5)


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Transexuels

    ... forme. Françoise continuait le nettoyage du minou de sa fille. Elle lui écartait la vulve au maximum. Elle avait bien dégagé le méat urinaire et y appliquait la pointe de sa langue. Pendant ce temps j’introduisais l’index et le majeur dans son anus. Marie se trémoussait sous l’action conjuguée de sa mère et de mes doigts. Une fois ma queue bien ragaillardie, Marie réintroduisit ma verge dans le con de sa mère. « Vas-y, remplit là bien ! Parce qu’elle le vaut bien ! » Après cette gym matinale, nous commencions sérieusement à avoir faim. Direction la cuisine. Françoise prépara un seau de café. Je filais en vitesse au village en espérant qu’il reste un peu de pain. La boulangère fut étonnée de me voir venir un dimanche. Pour une fois, c’était moi le client. Je me félicitais d’être venu seul. Si Marie m’avait accompagné, il n’était pas sûr qu’à son retour, venant acheter son pain, son père ne soit pas mis au courant de notre relation. Non pas que la commerçante soit une colporteuse de rumeurs, mais une indiscrétion involontaire était toujours possible. Je partais avec toutes les brioches et les deux baguettes qui lui restaient. De quoi combler mon appétit grandissant. Mes deux nanas rirent en me voyant revenir les bras chargés. Elles admirent que si je voulais bien m’occuper d’elles, il fallait bien que je reprenne suffisamment de force. Les petits déjeuners de midi, ça me connaissait. J’avais même une parfaite maitrise de la chose. Le dimanche après-midi commençait donc très ...
    ... lentement autour de la table, entre brioches, café, caresses pas forcément sexuelles, baisers plus tendres que ceux de ce matin ou cette nuit, rires et plaisanteries. Françoise appela Gérard pour avoir des nouvelles des enfants. Et puis il risquait de s’étonner qu’elle ne prenne pas de nouvelles. Même s’il lui était impossible d’imaginer une seconde ce qui était entrain de se jouer ici. Françoise avouait même à Marie qu’elle avait souvent envisagé de divorcer. Si elle s’était retenue c’était pour le bien de ses quatre enfants. Mais la tournure de ces deux derniers jours lui faisait reconsidérer la question. Elle n’avait pris aucune décision, elle voulait profiter de ces quelques jours pour foutre le feu à sa vie et voir comment le phénix renaitrait. Il était hors de question pour elle de continuer ad vitam aeternam sa relation incestueuse avec Marie. Elle était heureuse que cela soit arrivé. Elle considérait cet événement comme un incendie nécessaire, mais accidentel. Comme ces feux de brousse qui font éclater les cosses des graines. Elle entretiendrait ce feu le temps qu’il faudrait pour que ces graines éclosent. Elle n’avait aucune intention de réitérer ce genre de relation avec ces autres enfants lorsqu’ils seraient adultes. Elle vivait une parenthèse et la savourait autant qu’elle le pouvait, mais quand la parenthèse se fermerait, ce serait définitif et peut-être une autre vie commencerait. Puisqu’il fallait profiter de ces jours qui étaient déjà comptés, Marie passait ses ...
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