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La planète des singes (2)
Datte: 11/10/2017, Catégories: Zoophilie,
Zorna était désormais l’esclave sexuelle du grand gorille. Il la prenait, toujours de la même manière, quand bon lui semblait. Ces étreintes courtes mais toujours aussi sauvages la ruinait. Elle restait hébétée, inerte, longtemps après ces coïts démentiels. Son vagin ne s’habituait pas à l’énorme sexe du primate. Elle avait du mal à marcher et se faisait tancer par les deux femelles qui lui reprochait visiblement son manque d’activité sur les tâches ménagères. Zorna avait physiquement un mal fou à aller jusqu’au jardin récupérer la pitance quotidienne. Elle se déplaçait d’une manière bizarre, essayant d’écarter les cuisses afin de réduire le sentiment de brûlure qui l’envahissait à chaque pas. Les morsures que lui infligeait le primate laissait sur ses épaules et son dos des meurtrissures qui la faisaient également souffrir, de même que son buste lacéré par les griffes du grand singe. Elle choisit de se laisser dépérir. Elle ne mangeait quasiment plus, se contentant d’un ou deux fruits par jour et de quelques rasades d’eau. Ce régime eut deux effets. Elle perdit rapidement le bénéfice de sa cure alimentaire précédente et retrouva peu à peu la silhouette décharnée qu’elle avait lors de sa capture. Son ventre se creusa, ses côtes devinrent saillantes. Son visage retrouva son caractère émacié, puis ses seins et ses fesses diminuèrent de volume et prirent un aspect flasque. Comme elle ne se lavait quasiment plus, sa peau se couvrit lentement de crasse et de poussière. Du coup, ...
... le grand singe la délaissa petit à petit. Il n’était visiblement plus attiré par le souillon anorexique qu’elle était devenue. Il essaya bien au début de la forcer à manger ou de la laver contre son gré, mais rapidement il renonça. Zorna avait compris le bénéfice qu’elle pouvait tirer de son jeûne et ne fit rien pour changer les choses. Elle surveillait son alimentation, demeurant rigoureusement en dessous des standards physiques du primate. Malheureusement la situation ne dura pas. Un jour, au bout de quelques semaines, le gorille se campa face à elle et la dévisagea de son regard jaune. Il plissait ses paupières, l’air à la fois interrogatif et colérique, comme s’il cherchait à prendre une décision désagréable. Il poussa un court grognement puis chargea la fille sur son épaule. Zorna fut emportée au loin. Le gorille courrait, son mince fardeau ballottant sur ses épaules. Il traversa ainsi toute la zone qu’occupait les grands primates. Zorna reconnut la place centrale où elle avait atterri avec ses compagnes de misère. Le singe la traversa sans ralentir puis obliqua vers le nord de la cité. La fille vit par dessus son épaule se rapprocher la falaise de craie qui bordait la ville. Elle l’avait aperçue plusieurs fois en allant s’approvisionner au jardin. Le rocher formait un mur d’une vingtaine de mètres de haut. Il était percé de multiples trous de tailles diverses qui servaient visiblement d’abris. Des silhouettes assez petites s’agitaient sur la falaise, grimpant ou passant ...