La planète des singes (2)
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
Zoophilie,
... d’une cavité à l’autre. C’était la zone des macaques, que les grands singes avaient refoulés en périphérie de leur territoire. Arrivé au pied du mur naturel, le gorille la déposa à terre sans aucun ménagement. Il fit demi tour et disparut sans tarder. Zorna, fatiguée par les soubresauts du long périple, reprenait lentement son souffle. Les premiers macaques apparurent. Ils avaient fuit la présence du grand singe en se réfugiant dans leurs tanières. Maintenant, sans complexe, ils venaient prendre possession du butin que celui-ci leur avait livré. La fille se trouva rapidement entourée par une meute de mâles bruyants qui s’invectivaient tout en la serrant de près. Il n’y avait visiblement pas, comme chez les gorilles, une hiérarchie formelle. Les macaques vivaient en colonies et partageaient, bon gré mal gré, ce qu’ils trouvaient. Aujourd’hui la prise était une femelle humaine, ce qui arrivait rarement car les grands singes se réservaient ce type de prise. Leur excitation était visible, marquée par des sauts et des pirouettes incessantes. Cette prise de contact dura peu. Zorna fut saisie par les quatre membres et emportée par cette foule en délire. Elle était beaucoup plus grande qu’eux mais les singes se révélèrent d’une force colossale au regard de leur petite taille. La fille ne touchait pas le sol, trimbalée comme un fétu de paille. Le groupe de mâles s’engouffra avec sa prise dans une des grottes principales, située au bas de la falaise. De longs boyaux partaient dans ...
... tous les sens, à la manière d’un fourmilière. jtojuusx Les macaques posèrent la fille au centre d’une grande cavité, à laquelle les différents trous creusés dans la roche apportait une lumière suffisante, du moins par grand soleil. Zorna resta prostrée, attendant de manière fatidique la suite des événements qui ne tarda pas. Les petits singes se révélèrent beaucoup plus délurés que ne l’était le gorille. Ils formèrent un cercle autour de leur prisonnière et se mirent à la tripoter sans plus d’égard. Une foule de pattes velues explorèrent le corps décharné de Zorna, ne laissant aucune partie intacte. Visiblement son aspect ne les rebutait pas. Ses formes, pourtant réduites, furent assaillies. Ses seins et ses fesses semblaient particulièrement les attirer. Certains tiraillaient ses mamelles dans tous les sens tandis que d’autres prenaient possession de son fessier qu’ils pinçaient ou pelotaient avec nervosité, la fille tressaillait sous ces gestes saccadés. Certains des quadrumanes se masturbaient assis sur leur postérieur. Leurs pénis émergeaient de leur toison brune. Ils étaient pour la plupart fins mais fort longs. Un liquide séminal abondant s’échappait du sexe des plus excités. Zorna, qui était jusque là allongée en chien de fusil dans une attitude protectrice, les bras repliés contre son corps, fut retournée et placée à quatre pattes. Elle essaya de résister mais la force des assaillants l’en dissuada ; Elle fut fermement maintenue dans cette position tandis qu’un premier ...