LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... champêtres, et la blouse paysanne aux plis froncés, avec un décolleté bateau, ainsi que les sandales blanches, le tout acheté justement sous les arcades de la place de Saint Macaire par Edmond. À cette évocation, Odile a une brusque bouffée de chaleur, car elle ne peut que se souvenir. Elle ne peut oublier la honte incroyable, justement ici à Saint-Macaire, lorsqu’Edmond l’a troussée dans la rue. Mais aussi aux Abricotiers de la Garonne, lorsque le serveur et deux clients ont pu contempler son entrejambe dénudée, ainsi que son minou, scène qui s’est reproduite à Bordeaux, lors d’un déjeuner à la brasserie. Elle se souvient même qu’elle a pris du plaisir - elle ne peut se le cacher - que malgré l’humiliation ressentie, elle a aussi éprouvé un certain trouble à se savoir observée et détaillée dans toute son intimité : de même lorsque son suborneur l’a photographiée, lui faisant prendre des poses presque obscènes, où elle s’est sentie belle et désirable pour la première fois de sa vie. Va-t-elle devoir encore une fois s’exposer ? Justement, son mari la retrousse et lui enlève son shorty ne tenant pas compte de ses protestations, puis, il lui dégrafe son soutien-gorge, trouvant que ses seins ballottant dans son corsage sont du meilleur effet. D’ailleurs dans la voiture, Michel lui demande de retrousser sa jupe de plus en plus haut et même de sortir ses seins de la blouse. Il y a peu de circulation sur ces routes surtout viticoles, mais ils croisent ou doublent tout de même ...
... des tracteurs, d’où les paysans juchés sur leur siège ne perdent pas une miette des appas qu’Odile offre à leurs yeux écarquillés. Dans les caves où ils dégustent différents vins, si elle ne fait pas voir sa chatte, des yeux fureteurs plongent dans le décolleté de sa blouse baillant outrageusement, alors que, dans la presque obscurité des chais des mains baladeuses s’en donnent à cœur joie sur ses fesses. Odile a horreur de ces familiarités d’un autre âge, mais surexcitée depuis la veille par les agissements de son mari, elle est troublée par cette ambiance provocante et sensuelle à la fois. Au retour, Michel engage l’automobile dans un petit chemin de terre longeant un bois et ils font l’amour en pleine nature. Odile s’appuyant des deux mains sur un arbre, la jupe retroussée sur son dos, est prise en levrette pas son coquin de mari. Le soir, son mari lui dit qu’il a trouvé un restaurant remarquable, il fouille dans le sac de voyage de son épouse et en sort une jupe très courte en cuir noir et un chemisier noir transparent en soie sauvage. Lorsqu’Odile veut d’abord passer un slip et un soutien-gorge, il l’en empêche. « Mais mon chéri ce n’est pas possible, mon minou se verra lorsque je serai assise et ma poitrine à travers ce corsage sera par trop visible ! » « C’est justement ce que je veux. Je veux que tu sois la plus salope possible mon amour. Tu me plais ainsi – il y a tellement longtemps que j’en rêve. » Les deux époux partent à pieds à travers les ruelles médiévales, ...