LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... éclairées par des lampadaires aux lueurs jaunâtres. Odile manque s’évanouir lorsque sur la place du marché son mari se dirige vers la bâtisse du XVIe siècle où se loge « Les Abricotiers de la Garonne ». C‘est ce fameux restaurant où Edmond connaît particulièrement Agnès la patronne et où le serveur l’a prise en photo sur la demande du notaire, pendant qu’elle se masturbait allongé dans un fauteuil, les cuisses grandes ouvertes devant deux clients qui n’en perdaient pas une miette. À sa plus grande honte, elle a même joui bruyamment, en gémissant et en poussant des cris. Elle ne peut même pas s’enfuir, car Michel la tient fermement par le bras. C’est sûr, elle va au-devant d’un affront lorsqu’elle va se retrouver devant la patronne de l’établissement. Justement, elle s’approche avec les cartes et les menus à la main. Elle salue les deux arrivants comme si elle les voyait pour la première fois, leur demandant où ils veulent s’installer : il y a une terrasse extérieure qui donne sur la place du marché et à l’intérieur, une grande salle aux meubles régionaux anciens. Agnès propose également le jardin, où sous des tonnelles fleuries se trouvent des tables et des fauteuils en osier. Michel choisit le jardin et Odile se retrouve très près de la table où Edmond l’a obligée à montrer ses appas. Elle subodore que son mari va vouloir la même chose. La commande prise, c’est justement le jeune serveur qui l’a prise en photo dans une position très embarrassante qui vient leur servir le vin ...
... commandé. Bien qu’il ne laisse aucun signe qu’il peut la reconnaître, il ne peut s’empêcher d’admirer les seins nus, bien distincts sous la soie transparente du corsage et de jeter un coup d’œil rapide sur le haut des cuisses à la limite du bas-ventre de la belle mature. Le repas fin se déroule dans une atmosphère tendue pour Odile. Il y a peu de clients dans le jardin, alors que la terrasse extérieure est pleine et qu’un mariage se déroule dans la salle. Le jeune serveur, il a au plus vingt ans et une très belle gueule d’ange avec ses cheveux blonds, la reluque toujours avec attention lorsqu’il vient servir ou desservir. Le couple est installé à l’écart sous une tonnelle éloignée, Michel demande à sa femme de se soulever et de se rasseoir sur sa chaise en relevant sa jupe pour poser ses fesses nues sur le siège en osier. Puis, il lui demande d’avancer les fesses jusqu’au bord et d’écarter ses cuisses. L’humiliation de mettre sa pudeur à rude épreuve est encore une fois insupportable pour Odile, pourtant, elle obéit à son mari sans broncher, fermant les yeux lorsque le garçon vient pour la énième fois sans beaucoup de raison auprès de leur table. Ils sont seuls à présent, car les quelques clients qui restaient sont partis. Agnès la patronne est très occupée avec ses serveuses par le mariage et les deux serveurs de la terrasse ne chôment pas. Michel apostrophe le jeune serveur. « Mon garçon, je vois que la dame t’intéresse beaucoup. Allons approche, tu peux toucher sa chatte, ...