Jour d'audience au tribunal (suite)
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Oral
pénétratio,
couple+f,
Lesbienne
Résumé du chapitre précédent : «Jour d’audience au tribunal » Paul est gardien de prison à Perpignan. À la demande expresse de sa chef, il amène avec sa moto une détenue, Karine, à l’audience de son procès à Montpellier. Pour le remercier, Karine, lui fait une gâterie. Une idylle débute alors que Karine a été libérée et se retrouve chez Paul. ********** Au deuxième jour de son congé, exceptionnellement accordé par sa chef, Anémone, Paul dut affronter une réalité. Chantal, sa petite amie, inquiète de ne pas avoir de ses nouvelles ces deux derniers jours, l’appela au téléphone afin de lui dire qu’elle allait passer. Dans l’euphorie des ébats avec Karine, Paul avait complètement oublié l’existence de Chantal. Et maintenant, cette dernière attendait de sa part qu’il lui dise de débarquer rapidement chez lui. Dans sa tête, c’était un peu la panique. Pour parer au plus pressé, il prétexta qu’il devait quitter son appartement dans les minutes suivantes pour faire des démarches administratives, qu’il la rappellerait plus tard. Karine qui se trouvait près de Paul lui proposa qu’elle quitte l’appartement. — Je ne veux pas te gêner, j’irai chez une amie. Il y a longtemps que je ne l’ai pas vue, mais elle ne refusera pas de m’héberger le temps que je trouve un travail et un logement.— Pas question, tu restes là, je vais m’expliquer ce soir avec Chantal. Chantal est une chic fille et elle comprendra la situation. Notre liaison était sur le déclin. Nous avions déjà abordé le sujet de ...
... continuer à nous voir ou de rompre. À part une certaine lassitude, nous n’avons pas trouvé de raison pressante de nous quitter. Alors nous avons continué. Maintenant nous avons une bonne raison. Karine n’insista pas. En fin d’après-midi, Paul et Chantal se retrouvèrent chez elle. Malgré son aplomb apparent, il eut un peu de mal à s’expliquer, mais Chantal comprit rapidement qu’il voulait la quitter pour une autre. Elle ne lui laissa pas deviner ses sentiments réels, elle était dans l’indécision de savoir si cela la peinait ou lui était indifférent. Elle s’approcha de lui, prit sa main et l’entraîna vers sa chambre. — D’accord, tu veux reprendre ta liberté. Je veux bien ne pas faire d’histoire. C’est ton choix, mais avant de nous quitter je veux que nous fassions une dernière fois l’amour. Tu comprendras peut-être ce que tu perds. Et saisissant à pleine main, à travers le pantalon, les couilles de Paul elle l’entraîna vers le lit. Pris un peu au dépourvu par cette réaction, il avait plutôt imaginé une scène avec des cris et des pleurs, il ne résista pas et même il s’aperçut que sa queue appréciait le rude traitement que la main de Chantal lui faisait subir. Au lieu de se rétrécir de peur, elle enflait à l’idée de nouvelles réjouissances, un peu de rudesse serait peut-être une nouveauté intéressante ! Et il ne fut pas déçu pour ce qui fut de la rudesse. Chantal semblait déchaînée. Elle le déshabilla sans ménagement, tout en continuant à maltraiter sa queue qui maintenant montrait ...