1. Jour d'audience au tribunal (suite)


    Datte: 05/09/2020, Catégories: fh, ff, ffh, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Oral pénétratio, couple+f, Lesbienne

    ... une fière raideur. De ses doigts et de sa bouche, elle lui faisait subir un traitement de choc, alternant serrements, torsions, pincements, mordillage. Chantal voyait bien que sa nouvelle façon de faire plaisait à Paul aussi, s’étant prestement mise nue, elle lui interdit de la toucher alors que ce dernier avançait ses mains pour lui caresser les seins qu’elle tendait en avant, fermes et provocateurs. Paul qui se sentait penaud d’avoir initié leur rupture, se laissait faire, n’osait protester aux gestes rudes, parfois douloureux, que lui infligeait sa partenaire. Mais il était étonné que sa rébellion ne soit pas à l’ordre du jour et de découvrir que cette façon d’être traité pouvait lui plaire. En tout cas, sa queue appréciait et ne débandait pas, semblant espérer et rechercher de plus en plus de rudesse. Plusieurs fois, il fut sur le point d’éjaculer sous la morsure de sa hampe. Mais sadique, sa tortionnaire desserrait les dents, retardant la montée de son jus. Elle alla même jusqu’à lui taper avec vigueur sur les fesses, y laissant des marques rouges. Elle lui enfonça deux doigts dans le fondement en le traitant de « pédé » « hé, tu aimes ça, je vois… » et de le branler d’une main tandis que les doigts de son autre main allaient et venaient dans son cul. Paul n’en revenait pas d’accepter ces traitements et d’y trouver un nouveau plaisir. Il se laissait faire, subissait sans révolte, prenait son pied. Elle finit par le faire allonger sur le lit et se positionnant face à ...
    ... lui, elle s’accroupit et planta d’un coup la queue raide dans sa chatte qui dégoulinait d’une abondante mouille. Elle chevaucha ce cheval docile, le fessant de ses mains au rythme de sa cavalcade. Paul éprouvait un mélange de douleur et de plaisir. Au moment où un étau de chair se resserrait autour de sa hampe douloureuse qui éjectait son venin, Chantal poussa un cri et s’affala sur lui. Ils restèrent ainsi un moment, l’un sur l’autre, sa queue encore plantée dans le con de Chantal qui laissait s’échapper de plus en plus de foutre et de mouille mélangés, à mesure que son membre ramollissait. Ayant repris son souffle après ces quelques minutes de calme, elle se leva brusquement et dit à Paul : — Allez, lève-toi, rhabille-toi et pars. Je ne veux pas que tu me voies pleurer. Elle partit s’enfermer dans la salle de bain. Paul entendit couler la douche. Prenait-elle réellement la douche ou avait-elle ouvert le robinet pour que le bruit de l’eau qui s’écoule masque le bruit de ses pleurs ? Il préféra ignorer la réponse et s’éclipsa rapidement un peu honteux de cet abandon, mais aussi pas trop déçu de la manière dont la rupture s’était effectuée. Rentré chez lui, Karine eut la délicatesse de ne pas lui demander comment cela s’était passé. Il lui en sut gré, car il se voyait mal lui raconter l’entrevue. Il en fut tellement heureux qu’il se détendit au point que son cerveau lui remit la scène en mémoire et qu’il se mit à bander. L’œil vif de Karine ne manqua pas de remarquer la bosse de ...
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