1. LE PAPILLON (4)


    Datte: 05/09/2020, Catégories: Hétéro

    ... qui me masse le cul en pleine rue. Ma main suit son exemple, je la passe entre la ceinture et la chemise et la plonge dans son boxer…. (pas de boxer…..)… ….. pour saisir sa queue. Elle est douce, elle est grosse, elle est lisse. Ma main caresse sa queue bandée comme un arc. Il laisse échapper un soupir. Ses mains se retirent de mon cul et l’une vient saisir un de mes seins, il le malaxe, le presse, j’ai même l’impression qu’il va délaisser ma bouche pour le mordre à pleine dents. Sa main gauche s’aventure sur le devant de mon jean et entreprend de défaire le bouton. Je stoppe sa main et me libère de son étreinte. Nos bouches se décollent telles deux ventouses. Mon nez est rouge et sa bouche trahit un baiser volé, mon rouge à lèvre bien imprimé sur ses lèvres. Je marche à reculons, tout en le regardant dans le fond des yeux. D’un geste habile, je me baisse et me saisit de mon sac en continuant de soutenir son regard. Ses yeux trahissent l’étonnement. Ses cheveux sont légèrement en batailles et il me regarde m’éloigner sans un mot alors que je continue de le fixer. Son étonnement fait place à un amusement manifeste. Ma bouche se fend d’un vilain sourire victorieux et mon sourcil s’arque dans une posture démoniaque. Je remets de l’ordre dans mes cheveux, remets en place ma chemise, ma main remonte sur la naissance de mes seins et je ferme un bouton supplémentaire. L’homme se recoiffe, et nous nous faisons face à présent tels deux cowboys prêts à dégainer. Je lui susurre un ...
    ... merci pour le voyage puis referme la porte de mon portail en le laissant en plan. Je m’adosse contre le muret alors que j’entends la berline démarrer et s’éloigner rapidement. Le salon est vide et les enfants probablement dans leurs chambres sur leurs ordis. Je prends soudain conscience que pour la première fois de ma vie, j’ai laissé un autre homme que mon mari m’embrasser et me peloter… (ce n’est pas si grave finalement)… …et je crois avoir aimé ça. Je monte dans ma chambre et me débarrasse de mes habits. Mon sac s’étale sur le sol pour la deuxième fois de la journée, vomissant les objets qu’il contient et faisant glisse mon portable à proximité du lit. Ma culotte est définitivement foutue, elle est collée à ma chatte et laisse entrevoir mes lèvres poisseuses et mes poils noirs. Je la retire et un filet de mouille tente de m’en empêcher. Je la jette au loin de même que mon soutif. Mes tétons sont tendus à l’extrême, mon clito extrêmes sensible. J’ouvre un premier tiroir. J’en sors un joint que je place entre mes lèvres. J’allume une bougie à la senteur boisée et m’en empare pour allumer le pétard. La première taffe est épaisse, m’étouffe presque. Je tire une deuxième puis une troisième latte. L’effet commence à se faire sentir. Je me regarde à nouveau dans le miroir, debout, me tenant fièrement, un joint au coin de la bouche, l’excitation m’entourant comme un froid glacé. Tous mon corps y est sensible de la pointe de mes seins à la profondeur de ma chatte. Je me dirige vers le ...