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Dani-elle Chapitre 09
Datte: 06/09/2020, Catégories: Transexuels
... les fenêtres nous coupant ainsi du monde extérieur. L'habitacle est rempli d'une douce lumière. J'entends le chauffeur prendre place puis je vois la fenêtre qui nous sépare de l'avant du véhicule s'ouvrir. — Prend place convenablement. Je sais que l'ordre du chauffeur implique que je dois m'assoir d'une façon qui est tout sauf convenable. Alors je me redresse pour bien faire sortir ma poitrine et j'écarte mes jambes le plus que je le peux. Ma robe glisse sur mes cuisses exhibant mon entrejambe aux deux hommes noir et au chauffeur. La femme met sa main sur mon bras. Je me retourne vers elle gardant mes yeux à la hauteur de ses mamelles qui mettent à rude épreuve les boutons de sa blouse bleu layette. Le chauffeur se retourne avant de donner un autre ordre. — Faite ce que vous avez à faire. Je ne comprends pas alors je reste immobile. Le chauffeur referme la fenêtre et immédiatement la femme prend la suite. — Tu sembles une pute obéissante, mais je préfère t'avertir... Fais ce que je te dis ou les hommes vont te forcer. Est-ce que tu vas obéir ? — Oui madame. — Tu es bandée, putain. Qu'est-ce qui t'excite ? Mes seins ? Est-ce que tu aimes t'exhiber ? Ou, est-ce que tu aimes être soumise, ou peut-être c'est tout cela ? La femme a une voix douce et calme ce qui la rend d'autant plus terrifiante ses paroles. Je sens qu'elle ne me regarde pas. Je ne suis qu'un objet qui ne mérite pas son attention. Pendant qu'elle me parle, elle prend la mallette que l'homme devant elle lui tend. ...
... Je ne réalise pas que je suis fasciné par la mallette et j'en oublie de lui répondre. L'homme devant moi me claque une cuisse avant parler d'une voix de baryton. — Répond quand la docteure te parle. — Oui... Oui, madame. Je vais obéir et je vais faire tout ce que vous me demandez. — Ce n'est pas ce que je t'ai demandé... — Excusez-moi, Madame. C'est l'énervement... J'aime tout cela. J'aime tout cela, Madame. — Bien. Place ton bras ici. Nous n'avons pas toute la journée. Elle me fait signe de placer mon bras sur l'accoudoir qui nous sépare. L'homme devant moi place ses mains sur mes genoux et il les tient solidement. Pendant ce temps, la femme attache mon bras solidement à l'accoudoir avec trois bandes de tissu qui sont déjà placées là. Elle ouvre la mallette et je vois du matériel médical entre autres des fioles et des seringues placées avec minutie. Elle met des gants de latex puis prépare des tampons. Elle se retourne vers moi ensuite et prépare mon bras attaché en le nettoyant puis en lui fixant un garrot et en trouvant une veine. Elle me pique et rapidement elle me fait un prélèvement sanguin. Elle remplit de mon sang plusieurs petites fioles avec des bouchons colorés. Après chacun des prélèvements, elle place une étiquette sur la fiole. Elle en remplit cinq avant de changer l'équipement relié à l'aiguille. Pendant tout ce temps, je réalise que le véhicule n'est jamais démarré. Nous sommes toujours à l'aéroport. — Reste bien tranquille, je n'en ai plus pour longtemps. Je ...