Dani-elle Chapitre 09 - Histoires de Sexe

Dani-elle Chapitre 09

... suis certaine que tu vas aimer la suite. Sans la regarder, je lui fais un sourire. Elle a une demi-douzaine de grosses seringues déjà préparées dans sa mallette. Patiemment, elle m'injecte une première seringue. Elle s'arrête, puis elle me prend le visage avec une main pour que je la regarde. — Comment te sens-tu ? — Bien Madame. — On continue alors. Regarde-moi bien et dis-moi si tu te sens mal, si tu te sens étourdie ou si tu as un coup de chaleur. — Oui Madame. Elle continue avec chacune des seringues en prenant une pause à chacune pour me regarder et m'ausculter dès la troisième. Quand elle finit, elle retire l'aiguille de mon bras et elle applique une légère pression pendant quelques instants avant de me mettre un petit petit pansement adhésif rond à l'endroit où elle m'a piqué. Je réalise que mon sexe me fait mal tant il est tuméfié. Mes seins sont aussi douloureux et je me sens chaude... dans tous les sens du mot. La femme replace lentement son matériel dans sa mallette. L'homme devant moi retire ses mains de mes genoux après m'avoir offert une légère caresse sur mes cuisses. Je regarde encore la femme comme elle me l'a demandé. Elle retire ses gants qu'elle jette dans la mallette avant de la refermer. Elle détache mon bras puis elle me regarde en souriant. — Nous allons rester ici quelques minutes avec toi pour s'assurer que tout se passe bien. Te sens-tu toujours bien ? J'hésite avant de lui répondre « Oui madame ». Elle me regarde et fronce les sourcils. Du bout des ...

... doigts, elle me caresse l'intérieur du bras qui est toujours sur l'accoudoir. La sensation est formidable. Je sens une vague de volupté traverser mon corps. Instinctivement, j'ouvre la bouche et les yeux. Pendant un instant, j'ai l'impression que je vais exposer dans une profonde jouissance. La femme me regarde toujours souriante et impassible. Elle regarde un instant sa montre puis me regarde à nouveau. J'ai chaud, mais je ne dis rien. Je profite de mon état euphorique. — Je t'avais bien dit que tu aimerais cela. Puis la femme se détourne de moi et elle se met à papoter avec les deux hommes m'écartant complètement de leur conversation. La discussion est légère. À un moment, ils parlent de la pluie, puis d'une compétition sportive ce qui a semblé intéresser les hommes. Au bout d'un moment, elle se tourne vers moi et me regarde directement dans les yeux. Je me sens fondre. Je suis toujours euphorique, mais il y a plus... Je ne sais comment le définir, mais je me sens bien. — Qu'est-ce que vous pensez de la pute ? La feriez-vous considérant ce qu'elle a entre les jambes ? Les deux hommes hochent la tête négativement. — Pourtant son propriétaire m'a dit que c'était un bon coup. Mais bon... Putain... Comment te sens-tu ? — Je me sens bien, Madame. Très bien même. Elle regarde sa montre et fait signe à l'homme devant elle. Il frappe dans la paroi qui nous sépare du chauffeur. Immédiatement, j'entends un déclic. — Je pense que tu vas survivre. Je pense aussi que tu seras une belle ...