Travaux Routiers - Derniers couplets
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
extracon,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
pénétratio,
pastiche,
humour,
... Je… euh… j’ai des difficultés à rédiger des rapports, avoue-t-il. Puis, pensez à votre chauffeur, le pauvre. Il aura besoin de compagnie pendant que nous… euh…— Nous inspecterons ?La jeune femme, désarmée, accepte en riant.— C’est d’accord, va pour Lisette. Cet après-midi, nous irons la chercher. Mais au fait, où logera-t-elle ?— Euh… c’est une parente… euh… éloignée.— Une parente désargentée que, dans votre bonté, vous accueillez dans votre grand appartement. Vous êtes une belle âme, monsieur Louis.Le brave homme, insensible à l’ironie, ne relève pas. Marie-Amélie se dit que la fréquentation des gens frustes comporte quelques inconvénients. Enfin, que ne ferait-elle pas pour s’assurer la jouissance, même non exclusive, d’une si belle queue !— Bon, pour la galerie, nous la présenterons comme votre nièce. À tout à l’heure, je vous attends dans la cour à deux heures. D’ici là, faites connaissance avec votre nouveau logis.oooOOOoooÀ deux heures de l’après-midi, Marie-Amélie descend dans la cour. Hubert et Louis sont en grande conversation.— Bonjour Hubert, re-bonjour monsieur Louis, nous pouvons partir ?— Tout est prêt, déclare le chauffeur en s’inclinant et ouvrant la portière arrière.La jeune femme s’installe sur les coussins.— Où allez-vous, Louis ? Montez derrière avec moi.— C’est que…— Quoi ? Vous refusez ?— Nous avons discuté Hub… Monsieur Hubert et moi. Comme vous le rappelez de ses congés, je pensais que… euh…— Que voulez-vous dire ? Dépêchez-vous !— Ben… euh… il ...
... serait équitable qu’il soit le premier à… vous me comprenez ?— Ta, ta, ta, ta ! Montez avec moi… sans discussion.Louis s’exécute la tête basse. Il lui répugne de commencer sa collaboration avec Hubert sur un malentendu.— Vos scrupules vous honorent, Louis. Soyez sans crainte, Hubert n’aura pas à regretter de vous laisser la primeur. Je pense que tout à l’heure, en arrivant à votre village, vous mettrez un certain temps à convaincre mademoiselle Lisette - votre nièce, ne l’oubliez pas - de vous accompagner à la ville. Il saura me faire patienter. En route !Louis referme la portière et la voiture démarre d’un bond. Déséquilibré, il tombe sur Marie-Amélie. Elle le repousse en riant.— Ne soyez pas si pressé, Louis ! Nous avons le temps. J’aimerais auparavant contrôler que vous avez conservé les flatteuses dispositions dont vous avez fait étalage hier après-midi.Louis la fixe les yeux ronds, la bouche ouverte.— Vous n’avez rien compris ? Pas grave… Montre-moi ta grosse quéquette !Ce langage-là, Louis le comprend à merveille. Il baisse le pantalon et sort son engin.— Ah ! Oui ! Elle est toujours aussi jolie !Marie-Amélie la prend à deux mains.— Approche, ma toute belle, approche.Elle se penche et lèche le bout du gland.— Tu es trop grosse pour que je te suce correctement. Ah ! Rien n’est parfait, c’est dommage.Elle lâche l’engin, se renverse sur les coussins et soulève la robe sur son ventre nu.— Prends-moi !Louis s’avance la queue pointée. Un cahot le projette contre Marie-Amélie. Il ...