1. Travaux Routiers - Derniers couplets


    Datte: 06/09/2020, Catégories: fh, fbi, extracon, grossexe, campagne, Collègues / Travail pénétratio, pastiche, humour,

    ... s’enfonce plus vite qu’il n’aurait voulu. La jeune femme ne lui en tient pas rigueur.— Aaah ! Je sens que nous allons bien nous amu… Non, travailler nous deux… pardon, nous trois, ajoute-t-elle en captant le sourire du conducteur dans le rétroviseur.— Nous quatre, corrige Louis. Vous oubliez Lisette.Marie-Amélie ne répond pas, absorbée à jouir de la présence de la grosse queue. C’est aussi bien que la veille, mieux si c’était possible, car les cahots de la route ajoutent à son plaisir.oooOOOoooLisette est assise au bureau où Antoine, jaloux de ce qu’il a soupçonné la veille, a consigné la jeune fille. Elle rédige les rapports du chef d’équipe en tirant un bout de langue et suçant son crayon lorsque Louis débarque, suivi par Marie-Amélie, flanquée de Hubert. La jeune fille ne veut pas croire à la brusque promotion du cantonnier et il faut que l’épouse du préfet la lui confirme en personne.— Allez vous préparer, Mademoiselle. Pendant ce temps, Hubert me… euh… me fera visiter les environs. Je reviens dans… euh… trois quarts d’heure ?Le chauffeur secoue la tête, l’air implorant.— Disons une heure. À tout à l’heure.Abasourdie par la révélation, Lisette les suit des yeux.— Qu’est-ce qu’elle a voulu dire quand elle disait de me préparer ?— Ben, tu nous accompagnes à la ville, j’ai besoin de toi.— Pour quoi faire ?— Ben, pour conduire ma voiture tout d’abord et…— Une voiture ? Tu auras une vraie voiture ?— Oui, je l’aurai dans une semaine.— Et c’est moi qui la conduirai ?— Tu veux ...
    ... pas ?— Oh si ! C’est donc vrai que tu as un poste important ?— Je te crois ! J’inspecterai tous les cantonniers du département.— Même Antoine ?— Surtout Antoine. Il a pas intérêt à mal faire son boulot, celui-là !— Et je t’accompagnerai dans tes inspections ?— Tu conduiras l’automobile ! Puis, j’aurai besoin que tu me serves de secrétaire.— Ta secrétaire ?— Oui. Tu comprends, j’ai des difficultés avec les rapports.— N’insiste pas, je sais que tu sais pas lire ni écrire. Antoine non plus, d’ailleurs. Je t’aiderai du mieux que je peux.— T’es une brave fille, ajoute-t-il en tapant sur le postérieur. Allons chez toi chercher tes affaires puis nous passerons chez moi prendre mon baluchon.Sur le chemin, Lisette s’inquiète.— Où je vais coucher ? Je connais personne en ville.— Si, moi… euh… On m’a donné un grand appartement.— Oh ! Ce serait pas correct, toi et moi ensemble. Qu’est-ce qu’ils vont dire, les gens ?— Madame la préfète dit qu’en te présentant comme ma nièce…— Ta nièce ?— Oui, ça suffirait à faire taire les ragots.— Si madame la préfète le dit… Et t’as l’intention de te comporter en véritable oncle ?— Euh… Une fois les portes fermées, on sera plus obligés de faire semblant.— Et tu t’empresseras de me baiser ! T’as pas honte, espèce de gros vicieux ?— Je te promets de pas exagérer. Tu me dois bien ça, pour cette magnifique promotion.Lisette soupire, plus pour taquiner Louis que par conviction. Cette promotion, comme dit son nouveau patron, est inespérée. Finie la vie étriquée ...
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