Travaux Routiers - Derniers couplets
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
extracon,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
pénétratio,
pastiche,
humour,
... venue. Aussi dois-je rester en forme pour justifier ma réputation auprès de lui et ne pas me fatiguer comme hier.Louis s’incline et se cale dans son coin. Tout à coup, il se penche en avant.— Lisette, pendant que j’y pense, quand tu auras ton auto, il faudra que tu me conduises là où nous sommes passés en début de l’après-midi. Ils savent pas combler les nids de poule par-là.— Euh… Je sais pas où vous étiez, moi, se désole la petite.— Hé, hé ! On dirait que monsieur Louis prend son nouveau rôle au sérieux ? s’amuse Marie-Amélie.— C’est pas pour ça que j’ai été nommé ?— Si, mon gros, si. Hubert se fera un plaisir de nous y conduire demain, n’est-ce pas, Hubert ?— À vos ordres, Madame.— Je pourrai venir avec vous ? interroge Lisette.— Bien entendu, approuve la préfète. Nous travaillerons toujours en équipe, n’est-ce pas, Louis ?— Oui, Madame. En équipe.Hubert sourit intérieurement. Ces inspections promettent de joyeux moments. Il n’est pas fâché que Louis s’occupe de sa patronne. Il préfère se consacrer à divertir la secrétaire. Il pose les doigts sur le genou de sa passagère. Celle-ci recouvre la main de sa robe. Ils se sourient…Dernier coupletVoici la moralité (bis) Il faut baiser, il faut baiser, Les bell’ dam’ qui ont des sous. À son grand regret, lorsque l’auto promise fut affectée, Marie-Amélie dut renoncer aux inspections. Ce n’est plus qu’épisodiquement, lors de promenades soi-disant innocentes en compagnie d’Hubert, qu’elle retrouve Louis et Lisette, à qui le ...
... chauffeur a donné rendez-vous dans un village du département. Elle s’amuse même à initier la jeune fille aux plaisirs lesbiens lorsque les deux mâles se reposent pour reprendre des forces. Elle est fière de son protégé, dont l’action commence à se faire sentir. En effet Louis, entre deux baises, donne de bons conseils aux cantonniers tout prêts à écouter un ancien collègue qui sait de quoi il parle, à l’inverse des Parisiens envoyés par le ministère qu’ils avaient l’habitude de subir. Le bon état des routes départementales fait l’admiration du ministre des transports, que la rumeur a attiré. — Mon cher Charles-Édouard, je vous félicite, vous au moins, vous savez motiver vos troupes. Ce n’est pas comme certains de vos collègues. Je vais en parler en haut lieu. Attendez-vous à une agréable surprise. À quelque temps de là, la nomination du préfet à la tête d’une importante préfecture le comble d’aise. Ce n’est pas l’avis de Marie-Amélie, qui regrette de quitter sa province où elle avait pris ses habitudes. — Je ne suis pas mécontent de vous arracher à ce milieu, jubile Charles-Édouard. Tous ces provinciaux ont eu une mauvaise influence sur vous, en particulier votre protégé, cet inspecteur des routes inculte. J’ai eu honte quand il a parlé au ministre. Quel rustre ! Je me demande ce que vous lui trouvez de bien.— N’oubliez pas, très cher, que c’est grâce à lui que les routes de notre département sont si belles et vous ont valu votre promotion.— Euh… J’admets.— Aussi ne verrez-vous pas ...