Travaux Routiers - Derniers couplets
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
extracon,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
pénétratio,
pastiche,
humour,
... Pas du tout. Marie-Amélie…— Ah ! Elle s’appelle Marie-Amélie ? Quel joli nom !— Marie-Amélie a de grosses exigences et nous ne serons pas trop de deux…— Plus son mari, le préfet.— Oui, plus son mari, pour la satisfaire. Et toi, ça ne te fait rien qu’elle et Louis…— Mon oncle ? ricane-t-elle. Il peut faire ce qu’il veut, ça me regarde pas.— Et de ton côté ?— J’aimerais bien voir qu’il m’interdise de m’amuser !Ils se regardent, les yeux brillants. Hubert approche les lèvres de la bouche entrouverte, Lisette ne recule pas. Elle retrouve la douceur du baiser qui l’avait enchantée la veille. Les mains du chauffeur ne restent pas inactives, ni celles de Lisette. Les deux amants se retrouvent allongés sur l’herbe sèche, intimement liés.— Aaaah !… Ouiii !… Vas-y !… Baise-moi… Aah !… Comme hier… Ouiiii !Elle frappe de ses talons le postérieur de Hubert, que l’étreinte avec sa patronne n’a pas entièrement vidé. Il est fier de faire jouir cette jeune fille qui a tout pour plaire à un homme. Heureux celui qui l’épousera. Il la comble de puissants coups de reins en rêvant qu’il est l’élu. Pour l’instant, la jeune fille se tortille, aiguillonnée par l’éperon de la jouissance.— Aaaah !… Ouii ! … En… Aah !… Encore !… Ouii !… Aaaaah !Hubert ne se retient plus et éjacule sa semence.— Ouiiiiii !… Oooh… Ouiiiiiii !… AAAaaarrrggghhh !Comme la veille, elle s’arc-boute et retombe quasi inanimée. Il se dégage, s’allonge à ses côtés et la caresse doucement. Elle lui sourit.— Tu baises bien, toi.— ...
... Mieux que Louis ?— Oh ! T’as pas honte de dire ça ? C’est mon oncle !— Ne fais pas l’idiote, nous sommes seuls. N’oublie pas que je t’ai vue, hier.— Hier… C’était la première fois… Je t’assure, la première fois avec Louis et… on n’a pas pu finir.— Je sais, c’est notre faute.— Oh ! je regrette pas, tu sais.Ils restent quelques minutes allongés à se caresser. Hubert réagit.— Habille-toi, je crois qu’il est temps. La patronne va bientôt m’appeler.Il reboutonne la robe quand Louis les rejoint.— Aah ! Pour une bonne baise, c’est une bonne baise ! Et vous, z’avez pas trouvé le temps long ?— Pas plus que toi, tonton !— Tant mieux.Louis sort son sexe détendu et pisse contre un tronc d’arbre.— Aah ! On se sent mieux ! Dis, Hubert, la patronne te réclame.Le chauffeur s’empresse. Louis et Lisette retournent à petits pas vers le véhicule.— Alors ? Les inspections te plairont ? demande-t-il.— Elles seront toutes pareilles ?— Pourquoi pas ? Bien que… euh… Il faudra pondre quelques rapports pour justifier notre position.— Je suis là pour ça, non ?— Merci, je savais pouvoir compter sur toi.Il grimpe à côté de Marie-Amélie tandis que Lisette s’installe sur le siège avant.— En route, Hubert, commande la préfète. Non, bas les pattes, intime-t-elle à Louis qui fourrageait sous la robe.Devant l’air étonné du bonhomme, elle consent à expliquer.— Mon mari a insisté pour me rejoindre ce soir dans ma chambre. Par égard pour ce qu’il m’a accordé aujourd’hui en créant ton poste, je ne pouvais refuser sa ...