1. Chèque sans provision


    Datte: 07/09/2020, Catégories: fh, amour, Oral pénétratio, fsodo,

    ... énorme. Il lui occupe toute la bouche et vient lui percuter la luette. La langue taquine le dessous pendant que les mains s’occupent des boules. Elle le sent tressaillir et s’apprête à recevoir son hommage mais il se dégage. La repoussant sur le lit, il s’allonge sur elle et présente son poinçon face à l’encoche. Bien qu’humide, le vagin a quelques difficultés à absorber un tel morceau. Il se fraie un chemin dans cet antre et bientôt il atteint le fond. Satisfait, il reste immobile. Nathalie se sent remplie comme elle ne l’a jamais été. Impossible pour elle de se contracter comme elle désire le faire, ses muscles sont tendus au maximum. Elle bouge le bassin, lui signifiant qu’elle désire qu’il la laboure. Comprenant son appel, il se met en route. Ils sont en symbiose et se comprennent. Accélérant parfois, ralentissant lorsqu’il sent les contractions, il continue longtemps son manège. Le plaisir féminin éclate, il s’immobilise un instant puis repart. Après un long moment, c’est l’explosion simultanée pour les deux amants. Il bascule sur le coté, toujours emboîté. La cyprine, le sperme, la sueur ont imbibé leurs toisons. La nature fait son œuvre, l’organe se rétracte et ils se retrouvent dégagés couchés cote à cote. Elle pose sa tête sur son torse, le bras masculin enserrant un sein. Elle est là, heureuse, comblée. La fraîcheur la réveille, elle s’était assoupie contre lui. Ils se sont séparés inconsciemment. Il est couché sur le coté, reposant tranquille. Doucement elle se ...
    ... lève, va dans la salle de bains. Elle a trouvé un amant merveilleux, mais elle ne veut pas s’y attacher. Elle a remarqué son alliance, il l’a fait l’amour avec elle mais il ne sera jamais à elle. Elle se rhabille, prend un papier et lui laisse un mot : — Merci pour tout le plaisir que vous m’avez donné. Puis doucement, elle ouvre la porte et s’enfuit. Le portier somnole, elle quitte l’auberge sans se faire remarquer. Elle est loin de la ville, mais la marche va la ramener sur terre, lui permettre de réfléchir. Lorsqu’elle se réveille chez elle, elle se demande si elle n’a pas fait un rêve merveilleux. Puis les souvenirs lui reviennent, elle sent encore dans son corps la lassitude du plaisir. Le lendemain, prenant son sac, elle vérifie qu’elle n’a rien oublié et aperçoit une enveloppe. Elle l’ouvre : un bristol avec « Merci pour cette soirée Jean-Pierre.» et un billet de cent euros. Cet argent arrange bien ses affaires certes mais la met surtout en colère : il croit que je suis une pute, il m’a réglé la passe. Mais que je suis conne, c’est bien moi qui l’ai dragué la première fois. Elle est surtout ulcérée, non pas pour cela, mais par tout le plaisir qu’il lui a donné, qu’elle a aimé. Je ne veux plus le voir rage-t-elle, mais en son for intérieur elle espère qu’il la baisera encore aussi bien. Elle a hésité longtemps avant d’aller à la FNAC le vendredi soir. Puis a décidé de ne pas changer à ses habitudes, c’est un des rares plaisirs qu’elle s’accorde. S’il vient, elle va le ...
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