De Papillon De Nuit à soumise (9) - Histoires de Sexe

De Papillon De Nuit à soumise (9)

... pourtant que, pour moi, la soirée ne faisait que commencer. Il entra avec moi dans les toilettes des femmes, me tenant la porte ; et ni une ni deux, une fois la porte refermée, je me mis à lui masser l’entrejambe. Il fut d’abord choqué, mais il se laissa faire. Il s’est vite mis à rougir de honte ; mais pour moi, les consignes étaient les consignes, et je devais les respecter, quoi que je dise. J’ouvris la braguette, sortis son sexe que je commençai à masturber avec délicatesse. Je le regardai dans les yeux avec fermeté parce que je n’avais aucune envie de baiser avec lui, mais il les ferma rapidement. À ma grande surprise, je me rendis compte à ses tremblements et à la sensation chaude et poisseuse presque immédiatement ressentie dans mes mains qu’il venait d’éjaculer. J’étais tombée sur un éjaculateur précoce, c’était bien ma veine ! Mais quelque part, ça me rendait vraiment service. Après l’avoir aidé à se nettoyer, se rajuster et m’être scrupuleusement lavé les mains, nous sortîmes des toilettes et je retournai à la table de ma Maîtresse. Ses yeux s’arrondirent comme des soucoupes de me voir revenir aussi rapidement. Je m’assis tranquillement. — Tu vas me faire croire que tu as déjà fini ? Non mais, tu te fous de moi ! me chuchotta-t-elle sur un ton dur. — Maîtresse Chloé, pardonnez-moi, mais je l’ai pris dans ma main et il n’a pas duré trois secondes... dis-je, les yeux baissés. — Trois secondes ? Bon, choisis ce que tu veux, on en discutera plus tard, dit-elle en ...

... prenant le menu. Une serveuse très mignonne de type oriental grande et fine vint à notre table pour prendre notre commande. Elle portait un chemisier blanc, jupe noire, collants noirs et chaussures noires. Je choisis un menu classique et ma Maîtresse fit de même. — Mademoiselle, pourriez-vous, s’il vous plaît, demander à Jean-François – votre patron – de bien vouloir venir ? demanda ma Maîtresse. — Y aurait-il un problème, Madame ? s’inquièta la serveuse. — Non, rassurez-vous. Dites-lui juste que je souhaiterais lui dire un petit mot, s’il vous plaît. — Bien, Madame, j’y vais de ce pas. La serveuse s’éloigna en direction des cuisines. Quelques instant plus tard, le patron arriva. — Vous m’avez fait appeler, Madame ? — Oui, Jean-François : ma soumise a un service des plus spéciaux à vous demander, et je vous assure qu’elle se montrera très gentille. Lui accorderez-vous ce privilège ? — Évidemment, Madame. Étant donné que la préparation de vos plats va prendre un peu de temps, et pendant que je m’occupe de votre soumise, la maison vous offre un verre, ajouta-t-il en faisant signe à la serveuse orientale de venir. — Vous êtes divin ; mes félicitations ! répondit-elle avec un sourire. Je me levai de ma chaise, repris la capote non utilisée et, ayant une sérieuse idée de ce que j’allais subir, ma chatte commençait à s’humidifier dangereusement. Je suivis cet homme dans un bureau situé au bout d’un couloir isolé. Une fois la porte refermée, il s’assit sur son fauteuil, ouvrit sa ...