-
Martha, la fille de feu et de glace (1)
Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, couple, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,
... m’accroupis pour pouvoir jouir, moi aussi, du spectacle que m’offre ce corps, nu sur les rochers, à près de 3.000 mètres au-dessus des hommes, face au soleil couchant ! Déjà, une femme qui se donne du plaisir, mon Dieu, que c’est beau ! Mais là, dans ces conditions extrêmes, dans cet univers minéral, face au soleil couchant, c’était … oui, c’est … grandiose ! J’en ai le souffle coupé. Silencieusement, pour ne pas « déranger » la jeune esthète, je sors mes jumelles et peux ainsi entrer dans son intimité, tout en restant à bonne distance. Elle a appuyé sa tête sur un rocher, laissant son corps nu et alangui s’étaler largement, ouvert. La couverture dorée moire son corps d’éclats mordorés, illuminant les parties non exposées aux derniers feux de l’astre du jour déclinant. Blonde comme les blés d’été, les cheveux retenus par un bonnet péruvien multicolore qui se termine par deux pompons battant ses épaules, les yeux protégés par d’épaisses lunettes noires avec un cache-nez en cuir qui jette une note disgracieuse sur son doux visage. Les lèvres pulpeuses, blanchies par les produits de protection, laissent apparaître de temps à autre un bout de langue rose, pointu, qui darde et caresse les lèvres, véritable invitation à un baiser goulu et profond. Sa peau est tannée par une habituelle exposition au soleil et au grand air. Son buste, bien qu’en position semi allongée, montre une poitrine jeune, ferme, généreuse, accrochée haut. Deux larges aréoles pointent au bout. La main en ...
... enferme une, laissant voir le téton se faire malmener par des doigts fins, nerveux et vigoureux. Le ventre plat, musclé, se soulève au rythme d’une respiration haletante. Le mont de Vénus, couvert d’un léger friselis pubien blond, est en partie caché par l’autre main dont je distingue, plus que je ne la vois, l’activité fébrile dans son intimité. Les deux longues jambes, musclées, noueuses, sèches, s’étalent, ouvertes en compas et se terminent par de grosses chaussettes rouges. Des soubresauts animent le corps de la jeune femme de façon régulière et, de temps en temps, elle lâche une longue plainte de plaisir dont les « Ah ! » se répercutent, roulent le long des parois, puis reviennent amplifiés et déformés par l’écho, comme en réponse à son plaisir, comme si dix autres femmes éprouvaient, au même instant et dans les environs, un plaisir identique et aussi violent. La scène est … surréaliste ! Irréelle ! Après chaque grand cri, chaque grand souffle de plaisir, il me semble voir sortir de son entrejambe une légère vapeur d’eau, sorte de brouillard aérien et tremblotant dans l’air pur et froid. Mais, la fugacité de cette vision me l’a fait attribuer à une vision fantasmagorique, une sorte de mirage, plus qu’à une réalité. Son plaisir solitaire semble s’atténuer. Je m’apprête donc à rebrousser chemin, le plus doucement possible pour ne pas troubler ce magnifique moment, quand mon inconnue bouge. Je me tasse sur moi-même pour faire corps avec la nature environnante, disparaître, rester ...