1. Martha, la fille de feu et de glace (1)


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, couple, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,

    ... invisible … Elle change de position, adoptant une sorte de levrette. Calant et collant ses bras et ses tibias aux rochers, les jambes, largement ouvertes, les fesses bien hautes, la pointe des seins rasant la couverture à chaque mouvement des hanches qui se balancent, les jambes vont et viennent … je donnerais tout pour me trouver quelques mètres plus bas, dans un axe de vision plus direct sur son intimité ainsi largement ouverte et offerte … aux derniers et ultimes rayons du soleil. De son intimité, cachée par une fesse dodue et lisse, de temps en temps, spasmodiquement, semblent encore s’échapper quelques buées troublantes qui laissent présager d’une intense chaleur intime s’écoulant dans un univers froid. Mais elle se caresse toujours avec une main dont, de temps en temps, j’aperçois les brefs et violents mouvements entre les cuisses disjointes. Les cris, plus rauques, étouffés par ses bras, sont encore plus poignants et m’atteignent directement au creux du ventre, déclenchant en moi une érection qui finit par me faire mal. Mais le froid environnant, et celui de mes doigts, bien qu’enfoncés au plus profond de ma poche de doudoune, ne m’incite guère à me laisser aller, moi aussi, à un plaisir solitaire, bien que l’envie et le besoin en soit de plus en plus pressant … Frigorifié, frustré, ankylosé, je décide de remonter vers mon sac et le refuge … pensant qu’étant donné le lieu et l’heure tardive, la jeune inconnue devrait y trouver le gîte pour la nuit … La remontée et la ...
    ... dernière montée vers le refuge sont pour le moins pénibles. Et dès mon arrivée, je peux constater que ma belle inconnue s’y est déjà installée. À peine mes quelques affaires installées et l’inventaire du placard de la cuisine réalisé, que déjà j’entends des pas sur les dalles de pierres de l’entrée. La porte s’ouvre pour laisser pénétrer la jeune inconnue … — Salut ! dis-je, en l’accueillant avec mon plus beau sourire. Elle paraît surprise par ma présence, hésitant même un court instant à pénétrer plus loin dans l’unique pièce. — Hello ! me répondit-elle enfin, d’une voix froide et qui semblait contrariée. Allons donc, voilà qu’il me faut sortir mon anglais … et je continue alors dans la langue de la perfide Albion. — Seule ?— Oui … Et toi ?— Moi aussi … Bien ! Très bien ! Cette soirée s’annonce sous de merveilleux auspices (tu parles !) : une anglaise, esseulée … enfin une fille, certes belle mais qui parle anglais ! Super, j’ai bien fait de venir… — Martha ! se présente-t-elle. Et sans attendre de réponse, elle va se réfugier sur sa couchette, où elle prépare son coin pour dormir. Après un long moment de silence, actif pour tous les deux, elle daigne rejoindre la table où j’ai installé une soupe fumante et un couvert succinct, après l’avoir invitée à partager un frugal mais réconfortant repas. La lumière d’une lampe à pétrole, seul moyen d’éclairage en ces lieux, jette des ombres jaunes dansant sur toutes les parois de la pièce. Elle s’assied, toujours un peu boudeuse, face ...
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