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Le voisin est un pur-sang (2)
Datte: 10/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... comprends pas". "Tu as envie qu’il te saute et j’ai envie de voir ça "! "Mais tu es complètement cinglé ..." "Il y a une demie heure que tu me trompes avec lui sur internet. Si je n’étais pas là, tu serais déjà dans son pieu... Allez ! Fais vite, il va se déconnecter. Dis-lui que tu te reconnectes dans dix minutes le temps que je t’explique à quoi je pense". Elle se reconnecta. Il était encore en ligne mais sans doute sur une autre conversation car il mit du temps à répondre. " Eric est passé. J’ai dû couper. "Mais ouf, te revoilà... je suis encore très chaud". "Je dois encore couper. Attends-moi. Je reviens". Et je lui expliquai ce que j’attendais d’elle. Elle devait dire que je m’étais réveillé et que j’avais pris un somnifère et que d’ici 30 à 45 minutes, je dormirais comme un loir. A ce moment il pourrait la rejoindre. Il devait juste guetter, à partir de la porte de sa cuisine qui donnait sur la cour, la fenêtre de notre chambre qu’on apercevait de là. La nuit était claire, la lune à son plein, éclairant presque comme en plein jour. Elle se mettrait entièrement nue devant et il n’aurait qu’à traverser les quelques mètres qui séparaient sa maison de la nôtre, franchir le petit portail et monter droit à la chambre sans s’arrêter. Ainsi fut fait. Le minutes furent longues puis, quand j’eus estimé qu’il était temps, je lui dit d’aller s’exhiber pendant que je me tiendrais collé contre le mur et de me dire à voix basse ce qu’elle observerait. Elle se montra. "Il est déjà ...
... dans la cour... Il m’a vue, Il se lève... bon sang, il est nu. Il vient d’un pas ferme et décidé, il a franchi le portail... je ne le vois plus". On entendit la porte d’en bas s’ouvrir puis ses pas dans l’escalier. Je me recouchai rapidement et fis la mine de dormir. Anne-Sophie avait reçu toutes les consignes pour que je puisse les regarder sans qu’il vit mes yeux ouverts. Dans le lit ils devaient se coucher tête-bêche par rapport à moi. Il ouvrit la porte et s’avança. "Mais ton mari est là"! "Oui, mais il dort". "On ne peut pas rester là, il va se réveiller, allons ailleurs". "Non, cela me plait ici. Et puis regarde, il est parti pour plusieurs heures". Elle me pinça très fort le téton, et failli m’arracher un cri. La garce, elle en profitait. "Tiens essaie". Alors il me pinça aussi... sans ménagement. Puis il se tourna vers elle apparemment convaincu par mon profond sommeil, et s’approcha. Ils étaient de profil. Il parla. "Cela me fait bizarre qu’il soit là. Je l’aime bien... je suis un peu mal à l’aise.. Tu sais, je ne veux pas te mentir. J’ai beaucoup d’affection pour vous deux mais je ne suis pas amoureux de toi... Je viens juste... " "Pour me baiser"! "Si on veut, car j’aimerais qu’on devienne copain de cul. Que l’on puisse s’envoyer en l’air en toute complicité, autant qu’on le voudra toi et moi". "Mais c’est bien comme cela que je l’entends". Elle s’approcha de lui, lentement, puis ses seins touchèrent son torse. Sa main se glissa dans l’entre-jambe et elle se mit à lui ...