1. Le voisin est un pur-sang (2)


    Datte: 10/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... caresser les couilles. Il se baissa pour commencer à lui lécher les nichons. La bite s’était redressée fièrement et rapidement. Elle la branla, lentement, recalottant, décalottant puis elle s’agenouilla et se mit à titiller l’extrémité du gros zob du bout de sa langue. Il tendit tous ses muscles, passa ses bras derrière sa nuque et je vis, dans la pâle clarté de la lune, se dessiner les poils de ses aisselles. La langue descendait et remontait le long du fût puis elle se mit à bouffer les testicules, l’un après l’autre, la tête disparaissait à mon regard entre les cuisses velues et fermes. Puis un bruit de succion me fit suivre tout le parcours de la bouche qui déposait mille petits baisers sur le membre vigoureux dont elle refaisait l’escalade en sens inverse. Enfin elle enfourna le gland déchaînant ses mouvements dans tout les sens. Lui gémissait très fort, râlait, commentait à mi-voix : "Putain trop bon, t’es une vraie suceuse, wouah, c’est bien.. comme ça continue... oh oui génial ... Putain la langue entre le prépuce et le gland, c’est dément... ouais, vas-y, ouais, bien comme cela.": Et il ondulait du bassin. Il lui avait agrippé la tête qu’il guidait selon ses désirs. "Je vais te le rendre, tu vas de pâmer, je vais te baiser comme jamais j’ai baisé personne, tu vas jouir...". Il la releva, lui roula une pelle magistrale, lui pelota les nichons, la prit dans ses bras puissants et l’a renversa en travers du lit, son corps reposant sur mes jambes. Il s’agenouilla et lui ...
    ... bouffa la chatte. Je voyais ses boucles blondes s’agiter en tous sens entre les jambes de ma femme qui se caressait les tétons en gémissant de plaisir et en élevant et rabaissant son bassin à l’envie. "Putain, ta langue est chaude et longue... Ravine-moi le trou, vas-y... Hmmm... bouffe moi le clito...". Puis il se redressa et, fléchissant les genoux pour être à la bonne hauteur, il présenta son gland sur le trou dégoulinant de salive. Je plissai des yeux pour qu’il ne voit pas que j’étais en train de les mater. "Ah la vache, il est trop gros. Il va jamais rentrer..." "Il a une petite bite Eric "? "Non grosse, aussi mais pas tant que ça". "Allez, serre les dents, elle va rentrer. J’y vais en douceur". "Non pas comme ça". Et elle s’allongea sur le lit, à côté de moi, sur le dos mais les mollets à hauteur de ma tête. Il s’insinua entre les jambes écartées et je vis ses fesses musclées descendre et se crisper à mesure qu’il se rapprochait de la chatte et que le zob y entrait. Je le voyais, étendu de tout son long en missionnaire, bras tendus, la main droite frottant contre ma propre cheville cachée sous la couette, le dos puissant, cambré, dont chaque muscle ressortait. La clarté de la lune atténuait les contrastes mais rendait nette la séparation entre son cul rebondi et tout blanc et le dos bronzé. Je pouvais voir jusqu’au détail des poils fins et frisottés de ses jambes. Ma femme soufflait lentement et fortement tandis que le pénis progressivement s’enfilait en elle. "Tu la ...
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