1. Pris le nez dans sa culotte


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, cérébral, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio,

    ... recueillir les sucs de son vagin, peut-être d’essuyer la mouille de ses lèvres. Il restait quelques poils collés sur le fond de l’entrejambe, un peu jauni par les dernières gouttes d’urine qu’il avait recueillies au-dessus de la cuvette des WC. Je reniflai cet entrejambe, je le léchai, je le suçai pour en raviver les odeurs. Je ne pensais plus à rien d’autre : mon bonheur du moment était au fond de cette culotte, de la culotte de ma patronne, de ma maîtresse, de la femme dont je devenais l’esclave. Et puis soudain j’entendis du bruit derrière moi. Isabelle, ma patronne, était derrière moi, à la fois effarée et l’œil sévère, les mains sur les hanches. J’étais démasqué, j’étais pris en faute… Elle entra alors dans une colère qui me figea sur place, ne sachant plus quoi faire, ni quoi dire… Elle me traita de vicieux, de taré, de porc… Affolé par la peur qu’elle appelle la police, ou pire, qu’elle en parle à sa sœur qui m’avait envoyé chez elle, je me jetai à ses pieds en lui demandant pardon. Je me prosternai devant elle et j’embrassai ses chaussures, ses pieds. Elle me prit alors par les cheveux et releva ma tête assez violemment pour me regarder en me traitant de « porc lubrique », de « petite chose immonde », et en m’assurant que puisque j’aimais mettre le nez dans le fond de ses culottes, j’allais être servi. Elle défit alors prestement sa robe, enleva aussi vite sa culotte, s’appuya contre la table de nuit, et reprenant ma tête entre ses mains elle dirigea sans hésitation ...
    ... mes lèvres vers sa motte, où j’eus à peine le temps de distinguer ses grandes lèvres entourées d’une abondance de poils longs et montant haut sur son pubis. Aussitôt je me mis à lécher son sexe de haut en bas, en essayant de toucher son clitoris du bout de ma langue, tendant ma langue au maximum pour la pénétrer. Elle mouillait déjà abondamment et je sentais bien que mes caresses lui donnaient suffisamment de plaisir. Je plaçai mes paumes de chaque côté de sa motte, au-dessus de son pubis, pour sentir monter son plaisir et pouvoir ralentir ou accélérer le travail de ma bouche et de ma langue en fonction de cette montée. Je la suçais depuis un moment lorsque soudain, presque sans prévenir, elle se mit à jouir en feulant de plaisir, le corps soudain tétanisé, le ventre parcouru d’une vague de plaisir. Au même moment elle m’envoyait en bouche une giclée de mouille que j’appréciai comme un merveilleux témoignage de reconnaissance. Elle mit quelques instants à s’en remettre, puis se tournant vers le mur, prenant ses fesses et les écartant largement, elle me dit seulement : « Là, maintenant ! ». Ce n’est pas le genre de caresses que je préfère prodiguer, mais je n’avais pas à discuter : ma Maîtresse m’avait donné un ordre, je n’avais plus qu’à obéir… Je la caressai donc du bout de ma langue, mais sans chercher à entrer cette fois, pendant que de ma main qui avait repris le chemin de son sexe, je cherchai à caresser son clitoris. Au bout de quelques instants elle me dit d’arrêter car ...