1. Pris le nez dans sa culotte


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, cérébral, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio,

    ... elle sentait qu’elle allait jouir. Puis elle me dit de me déshabiller, en gardant néanmoins mon slip, puis de m’allonger sur le lit et de garder les yeux fermés. Je m’exécutai. Lorsque je fus sur son lit, les yeux fermés, elle s’allongea sur moi, prit ma tête entre ses mains puis m’embrassa profondément, faisait jouer sa langue dans ma bouche tout en frottant ses lèvres contre ma verge, déjà très dure mais encore emprisonnée dans le slip qu’elle m’avait ordonné de garder. Je sentais qu’elle commençait à s’exciter, qu’elle était prête à aller plus loin. Effectivement elle baissa alors mon slip d’une main et s’introduisit ma verge au fond de son vagin, en commençant une série de va-et-vient qui l’amenèrent rapidement à un second orgasme que je perçus aux contractions de son vagin. Sous l’effet de ces contractions je ne pus me retenir et j’expulsai au fond de ma Maîtresse une jute d’autant plus abondante que je ne m’étais pas masturbé depuis trois jours, fait inhabituel chez moi. Au bout d’un instant elle émergea de l’état de faiblesse qui avait suivi sa jouissance et s’aperçut qu’elle avait oublié d’enfiler une capote sur ma verge avant de s’enfiler sur moi. Elle en fut très inquiète, non pour le risque de MST, car elle savait que sa sœur avait exigé après m’avoir embauché, et m’avoir elle aussi utilisé, que je me fasse faire une analyse de sang ...
    ... qu’elle avait ensuite contrôlée. Elle était inquiète du risque de grossesse car, n’ayant pas d’amant, elle ne prenait pas la pilule. Elle vint alors placer ses lèvres sur ma bouche en m’intimant l’ordre de tout aspirer… puis elle se précipita dans sa salle de bains pour se nettoyer plus à fond. Lorsqu’elle revint, ce fut pour me signifier qu’elle me renvoyait chez sa sœur, ayant peur de s’attacher à moi dont la docilité et les services au lit lui avaient donné toute satisfaction… Il était clair qu’elle ne voulait pas que je fasse défaut à sa sœur, plus âgée qu’elle de vingt ans, tout aussi seule et plus en mal d’amant. Elle me dit qu’elle allait avertir sa sœur, non de mes manquements, mais du fait que le travail qu’elle avait à me confier arrivait à son terme. Gênée par l’instant de folie qui l’avait amenée à me mettre dans son lit, elle m’ordonna de garder le silence sur ce qui s’était passé, même auprès de sa sœur, et même si cette dernière me posait des questions. Dès le soir je recevais un coup de téléphone de sa sœur qui me dit que dorénavant je travaillerai chez elle, notamment à la vente de livres anciens sur Internet, et qu’elle me logerait dans sa chambre de bonne pour toujours m’avoir sous la main, nuit et jour… Ce n’était pas la peine de venir travailler au dépôt durant la journée. Elle m’attendait chez elle à vingt heures, et sans bagages. 
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