Balade pas trop loin de Lille
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
... tête sur le torse nu de Valentin et mettant mes pieds déchaussés sur le ventre de Pascal. Aucun des hommes ne dit quoi que ce soit. De temps à autre je m’amuse, déposant des baisers furtifs sur le torse de mon invité, ou égarant mes doigts sur son ventre, ou de l’autre côté, sur sa joue et son cou. Mes pieds, eux, jouent avec la petite bosse qui pointe sous le pantalon de mon mari. Bref, je lutine agréablement mes deux hommes avec moi, pour moi. Je me laisserais bien aller à plus de privautés, mais l’endroit n’est pas sûr ; nous risquons la visite d’enfants qui viennent parfois s’amuser dans ce parc. Puis, quelques minutes plus tard, bien reposés, nous continuons notre balade. Nous longeons de nouveau le lac, puis Pascal désigne un escalier qui grimpe directement au sommet de la petite colline herbeuse, dernier vestige de l’ancien terril : — Pour avoir une bonne vue, on peut prendre l’escalier.— OK, va pour la bonne vue ! Je monte devant, Valentin est une ou deux marches derrière moi, et Pascal plus bas encore. Soudain, mon voisin soulève ma jupe : — Belle vue, non ?— Belle vue, oui ! confirme mon mari. Décidément, ils n’en perdent pas une, mes hommes : des grands ados attardés ! Mais je ne vais pas me plaindre, puisque mon côté exhib est largement satisfait… « Exhib », c’est vite dit, puisque je n’ai que deux voyeurs à ma disposition… mais pas n’importe lesquels, je le reconnais ! Nous décidons d’un commun accord de changer de lieu, et je propose d’aller au parc du Joyeux ...
... Pygmée. Valentin s’étonne : — Joyeux Pygmée ? Ce n’est pas tellement local, comme nom !— C’est vrai, mais quand on a demandé aux écoliers de donner un nom, la majorité a choisi ce nom. Du coup, le parc s’est appelé ainsi. Pascal intervient : — Et puis, il y a un jeu de mots dans ce nom. Si on peut appeler ça comme ça. Jeu de mot qu’il se fait un plaisir d’expliquer. C’est plus fort que lui ! Pas besoin de télé, ni d’Internet : je demande à mon homme, il a très souvent l’explication. Parfois, je me demande où il case toutes ces informations ! Et c’est bien un être humain et non un ordinateur maquillé en homme. En tout cas, le déguisement est performant ; idem pour ce qu’il a entre les jambes… Pour aller visiter l’autre parc, il faut marcher un peu plus, environ deux kilomètres selon Pascal ; je le crois, l’évaluation des distances n’a jamais été mon fort ! Le chemin est poussiéreux et les vélos qui passent soulèvent des nuages derrière eux. Je ne parlerai même pas des vélomoteurs qui foncent droit devant, sans se soucier qu’il y ait quelqu’un ou pas ! L’un d’entre eux a même frôlé mon Pascal. — Tournons ici… dit mon mari.— Pourquoi ? La route, c’est tout droit.— Oui, c’est vrai ; mais jouer les toréadors n’est plus trop de mon âge.— C’est vrai qu’il n’est pas passé loin !— Ce chemin est nettement plus petit ; à vélo, on passe difficilement. Donc en mobylette, c’est encore plus malaisé. En effet, ce chemin se rétrécit beaucoup et nous-mêmes en tant que piétons, nous n’arrivons ...