Balade pas trop loin de Lille
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
... même plus à être deux de front. — Tiens, j’entends de la musique… dit Valentin.— Normal, nous approchons d’une cité, répond mon homme.— Ce n’est pas une musique de cité, ça : c’est du Céline Dion. Pascal sourit puis ajoute : — La moyenne d’âge dans cette cité dépasse celui du départ en retraite.— C’est une cité très calme alors.— Oui.— Sauf quand les gens écoutent dehors leurs musiques diverses et variées…— Pourquoi tu dis ça ?— Il me semble bien entendre à présent du Frédéric François, ou un chanteur de la même eau… Je m’immobilise pour mieux écouter. — Tu as raison, c’est du Frédéric François ; comment tu sais ça, toi ?— Ma mère ne déteste pas ; elle avait une grosse pile de trente-trois tours et aussi de quarante-cinq tours de cet artiste.— Je compatis !— Tu es méchante envers ma pauvre maman…— Meuh non ! Allez, viens ici que je te fasse un gros bisou-câlin ! Et je joins le geste à la parole : je me jette sur lui, le pressant bien contre moi, histoire de lui faire bien sentir mes courbes, puis je lui dépose un bisou bien sonore sur la joue, à défaut de pouvoir bien viser plus à côté. Peu après, nous arrivons sur le petit parc. Il faut monter une petite butte pour y accéder, car ce n’est pas vraiment ici l’entrée principale. Pascal passe devant pour indiquer le passage ; je suis derrière, mais je ne suis pas trop à l’aise pour grimper, ce n’est pas évident. Soudain je sens deux mains sur mes fesses qui me poussent. Par amusement, je remue du popotin pour bien les sentir ...
... sur moi, puis je stoppe sur place pour me faire royalement pousser. Pour toute réponse, les mains en question glissent le long de ma jupette pour venir ensuite se glisser dessous, et sans vergogne elles viennent titiller un endroit sensible de mon anatomie ! Je sursaute, et poussée par dessous, j’avance vers le sommet de la butte. Avec un certain regret, je sens les mains partir. Arrivé à mes côtés, Valentin dit simplement : — Tu transpires facilement, en effet… Nous sommes allongés tous les trois sur l’herbe, moi au milieu, Valentin sa tête sur ma poitrine et Pascal la sienne sur mon pubis. Nous devons former un spectacle assez singulier pour ceux qui auraient une très bonne vue. Peu importe : j’ai mes deux hommes avec moi et j’en profite ; et tant pis pour les jaloux. Et les jalouses ! Le soleil à travers le feuillage, l’herbe fraîche, une petite brise et un certain silence : je m’endormirais bien tout de suite ! Je glisse une main dans la chemise de Valentin ; j’aime jouer avec ses boucles… Mon autre se pose sur l’épaule de mon mari. J’irais bien m’aventurer sur son torse, mais il est trop bas pour moi. Par contre, quand il remue la tête, il presse agréablement sur mon pubis qui est déjà assez en émoi comme ça ! Valentin glisse sa tête au bord du dessous de mon sein. Qu’a-t-il derrière la tête ? Je le découvre bien vite quand il embrasse la base de mon sein par-dessus le fin top blanc. Je ne dis pas non, d’autant que le tissu est fin. Valentin, un clone de Pascal ? Oui et ...