1. Balade pas trop loin de Lille


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fhh, couplus, forêt, jardin, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral

    ... plus exigeant. Les autres encore plus ! Nous roulons dans le lit, indifférents aux draps froissés. Mes seins plaqués sur sa poitrine, mon pubis contre son sexe bien dur, nos jambes enlacées, nos bras serrés autour de nos corps moites… Puis quand nos bouches se séparent, Valentin murmure : — Tu es une femme infernale ; impossible, mais tellement attirante…— Attirante ? Juste attirante ? Il me relâche subitement, se mettant sur le côté : — Avec toi, je ne sais pas toujours quoi faire, tu es toujours trop… enfin, tu me dépasses… Complètement libérée de son étreinte, je me redresse : — Je te dépasse ? J’exprime mon désir, c’est tout ! Narquois, il s’allonge sur le dos, tête dans l’oreiller et tournant les yeux vers moi, il me demande : — Et c’est quoi, ton désir ? Sans vergogne, je m’agenouille par-dessus son torse, mon entrejambe sous son nez, et j’ordonne : — Occupe-toi de moi ! Il ne répond pas ; je me demande s’il va réagir ou pas. Soudain, la tête de mon Lapin vient se nicher entre mes jambes. Après quelques bisous appuyés sur mon pubis et mes lèvres intimes, lentement, sa langue explore ma fente déjà détrempée, elle s’égare à l’entrée de mon vagin. Je soupire d’aise. — Oh oui… Continue comme ça ! Je plonge mes doigts dans ses cheveux, je plaque sa langue agile contre ma chatte dégoulinante pour qu’elle me torture encore et encore ! Et il sait quand même bien y faire, je commençais à avoir des doutes sur le sujet… Mais il est vrai qu’il m’a excitée toute la journée, à se ...
    ... défiler. Soudain, sans crier gare, une immense vague me submerge, me retournant complètement. J’explose en multiples cris de jouissance. Je m’affale à côté de lui, tentant de récupérer comme je peux. Ça a été trop vite ! Je n’ai pas eu le temps de monter doucement en puissance. Oui, je devais être sacrément en manque pour me lâcher aussi soudainement ! — Satisfaite ?— Oui… bien que… un peu rapide…— Ah, tu sais comment sont les lapins… et les lapines.— C’est ça, rigole ! Je reste allongée, assez fourbue. Il se redresse, s’agenouille auprès de ma tête : — Comme tu as réussi ton coup, assume !— Euh… c’est-à-dire ?— Suce ma queue ! Eh bé, il se dévergonde ! Néanmoins, je crois comprendre son état ; il faut dire que je l’ai asticoté toute la journée. Je me redresse un peu, son bâton de chair presque sous mon nez. Je lui demande : — Sucette ou autre chose ?— Sucette ; et tu ne laisses rien s’échapper ! Message reçu. Gloutonnement, sa verge se glisse suavement entre mes lèvres. Vicieusement, j’épouse de ma langue ses veines que je sens palpiter. Je sens sa tige tressaillir, j’adore ça ! Puis, la retirant de ma bouche, mes lèvres englobent un gland écarlate, que je savoure comme une boule de glace. Après quelque agaceries, j’engloutis sa barre bien tendue et frémissante. C’est très excitant d’avoir dans la bouche une queue toute entière et si désirée ! C’est alors que j’accélère le mouvement, tentant de l’avaler toute entière, l’aspirant, la pressant, la torturant pour qu’elle rende ...