1. Balade pas trop loin de Lille


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fhh, couplus, forêt, jardin, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral

    ... grâce et qu’elle me donne la preuve de ma réussite. Presque aussitôt, une première salve explose dans ma bouche ; je suis contente de moi, de ce sperme offert comme récompense. Dans de longs gémissements, il se vide en moi, pas une goutte ne s’échappant de mes lèvres. Tandis qu’il mollit, je continue à le sucer délicatement. Il frémit, se retire de ma bouche, sans doute trop sensible à présent. — Tu es une bonne… suceuse…— Merci… Comme tu vois, rien ne s’est échappé.— En effet : tu es une femme dangereuse… Trop !— Il ne fallait pas revenir : tu savais très bien que le virtuel et moi, ça fait deux !— Je me pose la question si j’ai bien fait de venir…— Lapin crétin ! Puis nous tombons dans les bras l’un de l’autre. Je savoure ces instants de quiétude au creux de ses bras… Un gros câlin avec mille petits bisous. Il résiste difficilement à l’envie de s’endormir, je le sens bien. Tant pis pour une éventuelle suite… Alors je lui susurre : — Demain matin, je viendrai te réveiller à ma façon.— Demain est un autre jour, ma Puce ; bonne nuit.— Bonne nuit, mon Lapin. Après un dernier bisou, je quitte la chambre pour aller à la salle de bain y faire un peu de toilette, puis je reviens doucement vers notre chambre. La lumière est éteinte. Je fais de mon mieux pour ne pas réveiller mon mari. À peine installée dans le lit qu’il me prend dans ses bras. Il m’a l’air plutôt en forme, d’après ce que je sens contre ma cuisse… Pascal murmure à mon oreille : — Tout s’est bien passé ?— Mi-figue, ...
    ... mi-raisin…— Comment ça ? Je me retourne vers lui, plaquant mon ventre contre le sien, mes seins sur sa poitrine, nos lèvres très proches. — Je vais dire que nous avons fait les choses à moitié…— Dois-je comprendre que tu aurais aimé plus ?— Honnêtement, oui, nettement plus !— Pas de souci avec moi, tu sais…— Je sais : je n’ai jamais eu à me plaindre au SAV avec toi.— Content de te l’entendre dire. Je me colle à lui, mes lèvres presque contre les siennes. — Je ne voudrais pas paraître mesquine ou cynique, mais…— Mais… tu voudrais que je complète ?— On va le dire comme ça… Mais, comment dire, Zamour… Ne crois pas que… que tu es ma roue de secours.— Je sais ; je te connais assez pour le savoir.— Je sais que tu me connais. Parfois, c’est agaçant, très agaçant ; mais souvent, c’est très bien ainsi. Je l’embrasse ; il répond fougueusement à mon baiser. Ce qu’il y a de bien avec mon mari, c’est que, malgré les années qui passent, qui lassent, il se comporte toujours avec moi comme un jeune amant. Nous roulons dans le lit, défaisant les draps. Il m’embrasse assez sauvagement, possessivement, comme pour poser sa marque sur moi, pour me reprendre à lui. Sans doute une pointe de jalousie, même s’il est permissif à mon égard. Très vite, sa tête se niche entre mes jambes et il me torture d’un délicieux cunni très appuyé et sensuel. Sa langue vrille entre mes lèvres détrempées, s’égare à l’entrée de mon vagin pour revenir de plus belle autour de mon clitoris en feu qui en redemande toujours ...