1. De nombreux horizons


    Datte: 11/09/2020, Catégories: fh, couleurs, Oral pénétratio, uro,

    ... veux voir le jet sortir. Elle force, et ça vient d’un seul coup ; l’urine jaillit, giclant sur la faïence du bidet. Une forte odeur monte à nos nez. Les yeux écarquillés, j’observe le liquide et je lui murmure : — Pisse doucement, fais durer. Une nouvelle fois, elle obéit. La robe coincée sous le menton, elle regarde aussi son urine qui s’écoule. Elle est très excitée et son clitoris pointe au-dessus de sa fente. Une fois soulagée, je lui dis : — Laisse, viens, on va faire ça ici, comme ça.— Oui, vite, prends-moi ! Elle ne peut pas s’essuyer, tellement sa chatte suinte de grosses larmes de mouille. — Penche-toi. Je te prends en levrette. Je m’enfonce en elle, et commence à lui faire l’amour en la regardant dans la glace au-dessus du lavabo. Dans cette pose, le décolleté de sa robe baille, laissant voir ses seins. Tout à coup, quelqu’un essaie d’ouvrir la porte. Vanessa s’immobilise en retenant son souffle. Mais je lui donne un violent coup de reins. Elle ne peut réprimer un râle, mais, heureusement, l’inconnu n’a pas insisté. Elle me dit de me dépêcher. Mais je prends mon temps. Je sens ma verge s’enfoncer de toute sa longueur dans son ventre. Finalement, je lâche ma purée. Quelques secondes après, je quitte la salle de bains, non sans que Vanessa m’ait lavé la bite. Je la laisse se refaire une beauté et je regagne la terrasse. En juillet, je reçois mes résultats, j’ai mon année, tout va bien. Vanessa pour sa part, passe quelques oraux, et elle s’en va dans le midi pour deux ...
    ... semaines. — Tu seras sage, lui dis-je.— Autant que toi, mais de toute façon, tu sais que je t’aime, alors restons libre. Même si cette idée de liberté ne me déplaît pas pour les quinze prochains jours, l’idée qu’elle puisse jouir avec un autre me gâche son départ, mais, enfin, j’ai bien couché avec Claire quelques semaines avant, sans que cela nous ait empêchés ce soir-là de nous être avoué notre amour. Le soir même, elle m’appelle depuis Antibes, le voyage s’est bien passé, le temps est magnifique. Pour ma part, j’ai passé mon premier après-midi de travail à la radio et, à l’heure qu’il est, je bulle à la maison. Mes copains d’enfance ne sont plus à Paris, je suis décidément vraiment seul pour les deux semaines. Chaque midi, je mange dans un restaurant chinois, pas loin de la radio. Il y a là, une jeune serveuse, probablement vietnamienne plutôt que chinoise, qui semble s’intéresser à moi, puisque, régulièrement, elle se précipite pour pouvoir s’occuper de moi. Elle s’appelle Tran, et un midi, je trouve un mot avec l’addition, elle me laisse ses coordonnées, et me demande de la rappeler. Je la contacte donc le soir même. Je lui donne mon adresse, et elle m’assure de sa venue dans la soirée. Je décide donc de l’attendre. La sonnette retentit, j’ouvre, et, au bout du jardin, j’aperçois Tran qui pointe timidement le visage dans l’entrebâillement de la porte. Je lui fais signe par la fenêtre, et elle ferme derrière elle. Elle porte une jupe assez légère et, une chemisette, elle ...