De nombreux horizons - Histoires de Sexe

De nombreux horizons

... a d’ailleurs un air de gamine. Nous nous installons dans le jardin, je lui offre à boire. Elle s’assoit à mes côtés sur la banquette. D’un seul coup, après avoir trempé ses lèvres dans le breuvage que je lui ai concocté, elle déboutonne avec désinvolture sa chemisette jusqu’au nombril, libérant ses seins nus. De les voir si près m’excite aussitôt. Petits, pointus, ils dardent avec insolence. Les bouts épais et aussi sombres que les aréoles sont déjà dressés. Tenant les pans de sa chemise écartés, Tran tend ses seins vers moi, en une offrande muette. Le sang bouillonne dans mes veines. Je suis ému par ses seins qui m’attirent irrésistiblement. Tran m’observe avec calme, la moue aux lèvres. Je lève une main sans réfléchir, mes doigts frôlent un sein et j’oublie aussitôt mes quelques réticences devant l’offrande si rapide de sa chair élastique et chaude. Tran se cambre en prenant appui sur le dossier, sa frêle silhouette renversée près de moi. Mes deux mains caressent ses seins avec une assurance croissante. Les tétons durs roulent sous mes doigts et je contemple peu à peu la transformation qui s’opère chez elle. Son souffle haletant répond aux contorsions de son bassin au fur et à mesure que je palpe ses mamelons. Je suis complètement fasciné, puis je succombe à l’envie de les goûter. Je me penche, ma bouche se pose sur un sein et je respire longuement l’odeur de sa peau. Je me jette sur ses seins pour les gober l’un après l’autre. Je les presse dans ma paume et pince le ...

... mamelon pour mieux sentir le bout sous ma langue. Tran gémit, les bras en croix, et les jambes en équerre. Il est bientôt minuit, seule la flamme hésitante de la lampe à pétrole éclaire son corps d’adolescente qui me trouble tant. Elle ne simule pas, se livre à moi dans un complet abandon. Je l’embrasse au coin de la bouche. Je ne sais plus ce que je fais. Poussé par le désir, j’avance ma tête le long de son ventre, jusqu’à sa jupe. Tran devance mes désirs et soulève son cul pour la dégrafer. Je la regarde l’enlever ainsi que sa culotte. Je sens mon sexe se durcir encore lorsque Tran, avec une impudeur tranquille, ouvre les cuisses. Bouche bée, je contemple sa fente rose, profonde. L’absence de poils achève de me mettre dans un état second. Ses seins menus, sa fente nue, son corps gracile lui donnent un air de fillette de quinze ans. Tran saisit ma main, la coince entre ses cuisses et les referme. Je ne lutte pas contre sa force qui me coince le poignet. Mes doigts se déploient sur son sexe nu et d’emblée je cède à la moiteur de sa chair tendre, aux effluves poivrés. Je pince ses lèvres, fouille la fente qui s’élargit sous la pression de mes doigts. Tran se creuse davantage, écarte les cuisses afin que je m’enfonce plus profondément dans son sexe dilaté. Son clitoris charnu est durci. Je pratique avec elle les mêmes attouchements qu’avec Vanessa. La jeune fille réagit, ondulant du bas-ventre avec une souplesse animale. Après un soubresaut plus violent, elle me prend par le cou et ...