La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°897)
Datte: 11/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode N°893) – Et le Maître se leva, se dirigea vers un petit meuble qu'Il ouvrit et dont Il sortit une gamelle. Il l'a rempli d'eau, la posa près de la table basse et me regarda. Sur un claquement de doigts, Il dit : - Eh bien, Ma chienne ! Tu as entendu ? Viens te désaltérer ! Je restais interdite. Comment le Maître pouvait-Il me demander cela devant des clients professionnels ? Je Le regardais quelques secondes. Devant Son regard dur et sévère, voire impassible, je n’osais pas Lui désobéir, mais je ne pouvais me mouvoir rapidement. J’avançais vers la gamelle debout, en la regardant fixement. Un coup de fouet me toucha aux épaules. - Eh bien, chienne ! dit-Il d’une voix forte, mais pourtant sans crier. Est-ce ainsi que se déplace une chienne femelle de ton espèce ? J’étais aux bords des larmes mais je commençais à plier les genoux, quand je sentis un nouveau coup de fouet. - On a jamais vu une chienne habillée d’un tailleur, il me semble… tourne toi face à moi, mais ne me regarde pas, et déshabille-toi ! Je me tournais vers le Maître, bien heureuse de ne pas être obligée de Le regarder dans les yeux, et de ne pas devoir faire face aux deux inconnus. Je défis lentement les boutons de la veste, la laissais glisser le long de mes bras, puis je baissais la fermeture éclair de la jupe pour qu’elle rejoigne également le sol. Le Maître claqua des doigts. Je Lui en fus reconnaissante ! Je me précipitais pour me prosterner à Ses pieds et à partir de ...
... ce moment-là, je me retrouvais dans notre bulle D/s, celle qui m’avait permis de m’évader quand je vivais encore avec mon mari, tout ce qui n’était pas nous, s’effaçait. - Bien, maintenant va boire ma chienne ! La voix était toujours ferme et empreinte d’autorité, mais je devinais l’encouragement qui était derrière. Alors avec autant de grâce et de sensualité que je le pouvais, je me mis à quatre pattes, allait jusqu’à la gamelle en une allure féline en mettant mon fessier bien en valeur. Puis je lapais lentement mon eau. Ensuite, je retournais me prosterner devant le Maître, entre ses jambes écartées. - Même position prosternée, cul face à moi ! Et après que j’eus pris la position demandée, Il posa ses pieds, croisés, sur le galbe de mes fesses et continua Sa discussion avec Ses deux invités, qui posaient des regards d’envie sur mon corps offert à Celui à qui j’avais fait don de ma vie. La discussion entre les trois hommes qui se connaissaient manifestement depuis longtemps, dura un moment. Pendant la discussion, Monsieur le Marquis me demanda de débarrasser la table du salon, et de me coucher sur le dos sur celle-ci. - Je vous en prie, Messieurs, si vous voulez vous divertir, ma chienne est là pour ça ! Au début, ils ne firent pas trop cas de moi, mais assez rapidement, l’un d’eux s’occupa de mes tétons, pendant que l’autre regardait les différents accessoires que le Maître avait pris soin de mettre à leur disposition, après leur avoir ouvert une grande armoire. Mes quatre ...