Augustine, Comédie érotique
Datte: 27/06/2017,
Catégories:
Sci-Fi & Fantaisie,
... frustration sexuelle mène aux plus grands vices. Voici pour vos âmes. Quand au priapisme du Baron, il faudra prévoir un exorcisme. Je suis persuadé qu'une diablesse de fille qu'il a dû enculer a fait entrer Satan au plus profond de sa chair conséquemment douloureuse. Mes hommages Baronne, j'attends vos billets (la paroisse ne prend pas les chèques ni les cartes bancaires) et, samedi prochain, la tendre Augustine.Scène troisieme Le lendemain matin. Teresa, l'infirmière de nuit du Baron, est nue sous une blouse aussi courte que la robe noire d'Augustine. Le tissu quasiment transparent laisse voir les très grandes aréoles brunes qui mangent ses gros seins. Augustine est assise tout contre elle sur un canapé face au public. Toutes deux ouvrent largement les cuisses pour le plaisir dudit public. Teresa : Si tu savais les nuits que je passe avec ce malade qui n'arrive pas à débander même s'il a joui trois fois en une heure. Et il s'entête, il m'enfile par tous les trous et me pilonne comme un sauvage. Augustine : Pour moi, c'est du pareil au même. Et ça met la baronne en chaleur. Elle aussi s'amuse avec mes fesses et tout le reste comme avec celles d'une poupée en silicone. Teresa : Tu n'peux pas t'en aller? Augustine : Où irais-je avec mon père malade? C'est elle qui paye ses médicaments. Et quant à faire la putain, au moins ici je suis logée. Et toi? Teresa : Mois c'est plus grave. Ils me tiennent. J'ai aidé à mourir un vieux débris gâteux que je gardais nuit et jour. Ils ont ...
... des preuves. Si je pars ou si je porte plainte, ils iront les donner à la famille du vieux et je suis bonne pour la taule. Elles s'embrassent et se caressent. Chacune met à l'air les seins de l'autre, lui mordille les tétons et lui masse les cuisses. Elles gémissent en chœur. Les doigts fureteurs fouillent les chattes et en ramènent des jus odorants qu'elles s'étalent mutuellement sur les lèvres et sur les tétons. Teresa : On se fait un 69? Sauf leurs bas et leurs coiffes de soubrettes et d'infirmière, elles sont nues, tête-bêche, elles se lèchent les pétales de leurs fleurs (peu) secrètes et se sucent les boutons avec entrain. Les langues se glissent entre les fesses aussi loin que possible. Des râles signalent des débuts d'orgasmes, mais elles ne s'arrêtent pas pour autant. Depuis un angle de la scène, Madame les regarde. Madame : Ah les garces, elles s'amusent toutes seules et me laissent mourir d'ennui. Madame s'approche, chatouille le dos de Teresa et lui claque amicalement les fesses. Les cuisses d'Augustine ont droit à des claques plus sévères. Madame : Faites moi place les gougnottes, j'ai un truc à essayer avec vous. Teresa s'allonge sur le dos. Madame lui ouvre ses cuisses avec autorité, applique à son bouton une sorte de pince, et deux autres aux tétons. Ces pinces sont reliées par des fils électriques à un boîtier équipé de plusieurs manettes. Madame les manœuvre. Le ventre de Teresa, puis ses cuisses se mettent à trembler de manière incontrôlable. Teresa gémit, en ...