1. Augustine, Comédie érotique


    Datte: 27/06/2017, Catégories: Sci-Fi & Fantaisie,

    ... transe des pieds à la tête. Les gémissements se font cris. L'orgasme approche, la Baronne baisse la tension. Teresa respire plus calmement, mais pas longtemps. La Baronne remonte l'intensité, puis la baisse, puis la remonte, et chaque fois Teresa crie un peu plus fort, de souffrance ou de plaisir, impossible de savoir. Lorsque l'orgasme éclate, la Baronne appuie sur un bouton rouge et un grand jet d'urine jaillit du ventre de Teresa en une harmonieuse parabole qui va mouiller le sol, jusqu'à deux mètres plus loin. Cri final de jouissance. Puis reflux du plaisir, mais Teresa reste sous tension. Le moindre contact l'électrise toute entière. Madame : Augustine, à ton balai pour nettoyer la pisse. Augustine toute nue passe le balai et chantonne le thème duBoléro de Ravel. Les spectateurs peuvent contempler le doux balancement de ses seins au rythme du nettoyage. En coulisse, une sonnette. Madame : Augustine, termine ça vite. Monsieur le Baron se réveille. Lave tes fesses, il en aura besoin. Et va t'habiller comme d'habitude. Augustine sort. Madame : Teresa, à moi d'essayer cette machine à jouir. La Baronne se dépoitraille, remonte sa jupe sur ses fesses nues. Teresa lui installe les pinces et démarre la machine à faire jouir. Les lumières baissent progressivement et c'est dans l'obscurité que la scène continue avec les gémissements puis les cris de la Baronne, et à chaque pic orgasmique, le rire complice de Teresa.Quatrième et dernière scène Un homme plus jeune et plus musclé ...
    ... que le Baron est assis dans le fauteuil. Sans aucun doute il s'agit de Gustave, le "neveu" du Père Frappard. Les spectateurs le voient de trois-quarts arrière. Son short brillant de joggeur découvre des cuisses bronzées, ce que l'on n'attend pas d'un curé défroqué. Son maillot de corps grisâtre de poussière et de sueur découvre des bras tout aussi musclés. On entend leBoléro de Ravel. À la deuxième variation, une femme entre sur la scène et danse lascivement, enveloppée d'un burkha noir comme en portent les afghanes. Son visage est complètement masqué. Une sorte de grillage lui permet de respirer et de voir où elle va. Le burkha est fendu par devant et elle l'ouvre fugitivement, juste assez pour que l'on voit que dessous elle est nue. A chaque variation, elle montre un peu plus de son corps. À un petit tatouage sur le ventre, le spectateur attentif peut reconnaître Augustine, dont on n'imaginait pas les talents chorégraphiques. Les variations duBoléro s'enchaînent. Chacune apporte une touche instrumentale supplémentaire et Augustine montre un peu plus ses charmes. L'éclairage change légèrement à chaque reprise. On devine que l'homme se masturbe. La danseuse s'en approche, lui frôle le visage de ses tétons, et la cuisse de ses jolis mollets charnus. Elle se penche pour lui montrer un (trop) court instant sa chatte et ses fesses. Elle monte de temps en temps sur une table basse devant le fauteuil, elle s'y vautre les jambes en l'air, commence à se caresser mais s'interrompt et ...
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