1. L'histoire de Marie Christine (2)


    Datte: 12/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Le téléphone de « Clarisse Productions », studio spécialisé dans le fétichisme et le SM, sonna. Clarisse décrocha immédiatement : — Allo, bonjour. Ici Clarisse. — Bonjour Clarisse. Nous ne nous connaissons pas mais sachez que je suis le maître de Marie Christine, que je vous ai envoyée il y a quelques temps pour un casting. — Oui je me souviens très bien ! Clarisse se remémora immédiatement la cougar quinquagénaire brune et pulpeuse avec laquelle elle avait tourné une scène lesbienne fort agréable. — Que puis-je pour votre service ? — J’ai un scénario que je souhaiterais vous voir réaliser avec ma soumise. Est-ce que cela peut vous intéresser ? Bien sûr, de quoi s’agit-il ? L’homme expliqua alors avec force détails ce qu’il avait imaginé pour sa maîtresse. Clarisse prenait quelques notes tout en l’écoutant. Quand il eut fini, il lui demanda ce quelle en pensait. Clarisse lui répondit que c’était dans ses cordes. A ce moment- là, l’homme rajouta qu’il ne souhaitait pas que le film soit diffusé, mais que par contre il était prêt à payer la réalisatrice selon ses tarifs, pour un exemplaire unique qu’elle lui remettrait. C’était assez inhabituel dans le milieu, mais, à partir du moment où Clarisse rentrait dans ses frais, il n’y avait pas de raison de refuser. Ils négocièrent quelque peu et se quittèrent d’accord. Une semaine plus tard Marie Christine débarquait au studio. Elle était toujours aussi charmante et enjouée. Petite, très mince avec une superbe poitrine elle était ...
    ... loin de faire son âge. Elle embrassa Clarisse sur les joues et s’assit en face d’elle. Elle portait à la demande de son maître des bottes de cuir noir assez hautes, une minijupe plissée noire également, plus un t-shirt rose moulant et un « Perfecto » noir. Pas de maquillage, à quoi bon ? Clarisse lui demanda si elle était au courant de ce qui l’attendait. Ce à quoi la bombe brune lui répondit que non, son maître souhaitant lui faire une surprise. Simplement elle rajouta que ce serait , d’après les dires de son amant, une expérience nouvelle et un pas de plus dans son parcours de soumission. Clarisse lui demanda de la suivre en prenant les clés de sa voiture. Le trajet les mena dans un faubourg assez délabré de la ville voisine, quartier que Marie Christine ne connaissait pas. La conductrice se gara et lui fit signe de la suivre dans une ruelle qui s’ouvrait à quelques mètres de là. Au fond de ce qui se révéla être une impasse, La brune découvrit une ancienne échoppe, transformée en boite libertine. Elle était fermée vu l’heure mais quand Clarisse toqua à la porte, quelqu’un vint lui ouvrir. Les deux femmes entrèrent. Le portier les salua puis les guida à l’intérieur des lieux. Un corridor assez long les mena dans une première salle, un bar avec un comptoir assez neutre, quelques tables et chaises bistrot, les murs peints en noir. La salle était vide. Au fond s’ouvrait une porte qui conduisait à une salle plus grande toujours sombre et toujours vide, entourée de lourds rideaux ...
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