L'histoire de Marie Christine (2)
Datte: 12/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... avec une piste de danse. Marie Christine examinait les lieux. Elle réalisa, en écartant une tenture, que chaque jeu de rideaux cachait une pièce plus petite, des alcôves privées, où les clients pouvaient s’isoler à leur guise. Clarisse la prit par la main et la guida vers l’une d’entre elles. L’endroit était une cabine assez petite, rectangulaire. Des tentures tendues de part et d’autres de la pièce. Au fond un téléviseur plat que Clarisse alluma. Les deux femme se retrouvèrent face à leur image. Ce qui surprit la brune, qui se mit à rire. Clarisse lui lâcha la main et disparut derrière un des deux rideaux. Marie Christine se retrouva seule, debout face à l’écran qui diffusait la seule lumière du lieu en même temps que sa silhouette. Elle regardait fixement le moniteur. Son attention fut attirée par une tâche blanche, puis une autre. Elle réalisa qu’une dizaine de mains gantées de blanc émergeaient des tentures latérales par des trous ménagés à cet effet. Les mains s’agitèrent, se rapprochant du corps de la fille. La cabine ne faisait pas plus d’un mètre de largeur, ce qui voulait dire qu’un bras tendu pouvait facilement atteindre la tenure en face de lui. Les marionnettistes invisibles se firent plus pressant. Marie Christine suivait à l’écran leurs mouvements. Deux gants commencèrent à ôter son blouson de cuir avec dextérité, tandis que deux autres mains dégrafaient sa jupette. En un instant, elle se retrouva en slip et t-shirt. Il y avait une coordination silencieuse des ...
... mouvements, comme une chorégraphie savamment élaborée. Marie Christine se retrouva de pied en cap, frôlée, puis caressée, palpée pour une foultitude de doigts, certains légers d’autres plus nerveux. Une main arracha soudainement son string de dentelle, tandis que deux grosses paluches s’attachaient à déchirer son t-shirt, heureusement fort léger. Maintenant nue, elle fut saisie aux quatre membres et fermement maintenue ainsi immobile et écartée. Le silence fut rompu par une bordée d’injures. « Salope ! » « vieille cochonne ! ». Des voix mâles l’interpellaient: « Tu es une traînée, une sale pute et tu vas avoir ce que tu mérites !» « On va te défoncer le cul, espèce de chienne ! » «On sait que tu aimes les bites, alors tu vas être servie, pouffiasse ! » Le changement d’ambiance était radical. Marie Christine fixait toujours l’écran. Une première gifle lui frappa un sein. Ce fut comme un signal. Elle reçut une bordée de claques sur la poitrine , le dos, le ventre, les cuisses, la croupe.. La cougar se mit à se tortiller pour échapper aux coups. Elle gémissait mais rien n’y fit. Les claques continuèrent à pleuvoir en abondance. Ses seins opulents constituaient une cible privilégiée. Ses mamelles tressautaient au rythme que leur imposait ses agresseurs. Le déluge s’arrêta pour faire place à un pelotage général. Tout son corps fut palpé, malaxé, ses tétons pincés, tordus, ses orifices fouillés sans aucun ménagement. Les injures les plus diverses continuaient à fuser. Elle continuer ...