1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (3)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... peu de tenue Véro quand même…Lui rétorquai-je. — Ils t’ont pris pour mon compagnon, ils croyaient que tu étais mon jules ! Dit-elle en pouffant de rire. — Bah tu ne fais pas ton âge et mange donc quelque chose. Lui conseillai-je. — Tu ne me demandes pas si j’ai suivi ton texto à la lettre ? S’interrogea-t-elle. — Comment pourrais-je savoir…Répondis-je. — Rejoins-moi dans le couloir près de l’entrée. Me chuchota-t-elle dans le creux de l’oreille. Elle s’éloigna gaiement avec ses mèches s’agitant en tous sens et ses longues jambes fines. Dieu qu’elle avait de l’allure…et voir son cul me donna des vertiges. A mon tour je m’éclipsai discrètement, prenant soin de ne pas attirer l’attention en longeant la haie donnant sur la cour. Ma tante m’attendait dans un couloir sombre et me fit un petit signe en étant adossée au mur. Etant de profil, sa poitrine et ses jambes mises en valeur avec les talons lui donnèrent une sensualité extrême. Je ne rêvais point, j’étais bien en train de rejoindre ma propre tante tel un ado prêt pour un flirt indiscret avec une quadra, au sommet de sa beauté, à l’élégance absolue. Je craquais littéralement en rejoignant mon idéal féminin, Véronique, la sœur de ma mère, objet de mes fantasmes les plus mystérieux. — Mais qu’est-ce que tu foutais ! Je croyais que tu t’étais perdu. S’interrogeât-elle. — Je suis là maintenant, alors viens un peu près de moi. Répondis-je en déboutonnant son chemisier. — Patrick ! On peut nous voir. S’inquiéta-t-elle le chemisier ...
    ... ouvert. — Mais t’es vachement bandante ma belle Véronique. Dis-je en lui faisant un baiser dans le cou. — Oui mais on peut nous voir, arrête maintenant ! S’emporta-t-elle avec son buste resplendissant à l’air. — 30 secondes…Répondis-je le temps de happer l’un de ses seins. Je me mis à lui téter son sein comme un malade, aspirant son téton sans préliminaires. Véro prise dans la spirale infernale d’un plaisir mêlé au danger me caressa la nuque. Ma belle quadra se laissa pomper le sein, devenu vaillant en l’espace de quelques secondes. J’eus le temps de soulever sa jupe, de passer ma main entre ses cuisses galbées pour découvrir qu’elle n’avait pas mis de culotte. — Viens. Lui dis-je en la prenant par la main. — Mais que fais-tu ? Demanda-t-elle en parcourant le couloir vers l’entrée. — Suis-moi. Lui murmurai-je en passant par la porte d’entrée pour nous retrouver dans la cour au milieu des voitures. — C’est quoi cette porte ? M’empressai-je de lui dire située près d’un des garages. — Mais j’en sais rien ! Répondit-elle le chemisier ouvert. Je la pris par la main et ouvris ladite porte. Nous fûmes dans le local à piscine avec le bruit du moteur de la pompe. Il y avait une petite tablette, sorte d’établi pour l’entretien avec divers objets. Les lanternes de la cour nous servirent d’éclairage et dans la précipitation, la tablette fut dégagée d’un revers de main. — Ah non Patrick, t’es complètement dingue ! Dit-elle à voix basse. — J’ai trop envie de te sauter, relève ta jupe. Ma ...
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