1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (3)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tante en effet releva sa jupe sans un mot et s’allongea comme elle put. Elle fut à la terrorisée et formidablement excitée de cette situation périlleuse et fit valser ses escarpins. — T’es dingue Patrick ! On est chez mes amis !! Chuchota-t-elle en me regardant ôter mon pantalon et boxer. — Alors ? Lui demandai-je le sexe dressé vers elle. Ma tante releva la tête et haussa les sourcils, admirative de la bête à plaisir lui faisant face. Malgré la pénombre de cette petite pièce lugubre, je fus ébloui lorsqu’elle ouvrit les jambes, me dévoilant sa fontaine à diamants. — Viens dépêche-toi ! M’ordonna-t-elle prise de panique. — Tu vas voir si c’est bon…Lui dis-je en saisissant mon penis gorgé de sang. -Oh Patrick….Soupira-t-elle quand mon sexe prit le chemin de sa source lumineuse. Il parcourut son canal avec facilité et notre coït incestueux put commencer. Ma tante se fit pilonner comme une chienne, en gémissant à chacun de mes coups. Le temps nous étant compté, la cadence soutenue déclencha une jouissance inouïe de ma partenaire aussitôt suivie de la mienne en l’espace de quelques minutes. — Oui…Ouii Patrick ! S’étouffa ma tante en se tenant au bord de la tablette. — Oh bordel…Dis-je en pleine jouissance en couvrant de baisers ses jambes à la peau douce, comme une plume portée par une brise légère. — Oui…Oui mon amour…Ouiii…Me souffla Véronique au plus fort de sa jouissance, se faisant pénétrer de plus belle. — T’es folle à baiser ! M’exclamai-je en lui donnant l’assaut final. — ...
    ... Humm…Continue…Oh ouiii…Soupira-t-elle repue de plaisir. Très vite ma tante attrapa sa jupe, remit ses escarpins et tenta de se recoiffer elle-même, sans miroir, sans lumière dans cette pièce exigüe. J’entrouvris la porte, personne dans la cour. Je me retournai et finalement ma tante me prit par la nuque pour échanger un pur baiser sexuel. — Tu es génial Patrick ! Ajouta-t-elle à la fin de notre baiser. — Oui je sais ! Bon on y va et passe par le couloir, je fais le tour par derrière. Lui chuchotai-je à la lueur des lanternes. Véro hocha de la tête et chacun à son tour, nous retrouvâmes les invités. Entouré de personnes inconnues, j’aperçus dans le couloir Paul qui interpella Véro se demandant ce qu’elle faisait seule à cet endroit. Elle donna une explication visiblement confuse en agitant les mains et rejoignit ses amis. La fiesta battait son plein avec une musique endiablée et le soleil avait pris ses quartiers depuis fort longtemps. — Patrick, j’ai eu la trouille de ma vie. M’avoua-t-elle un peu étourdie. — Ne crains rien, personne ne sans doute. On a baisé comme des bêtes. Lui fis-je remarquer en échangeant un regard d’une envie de l’un et l’autre irrésistible. — Ouii comme des bêtes ! Je t’adore. Me dit-elle en me faisant un baiser sur le coin de la bouche. Patricia fut juste à côté et ce geste osé de ma tante ne lui échappa pas. Véro partit à la chasse d’un pain perdu et une heure après, je la vis réapparaître pimpante avec ma fameuse Patricia, elle aussi avec les idées ...
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