Le collier
Datte: 13/09/2020,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
fbi,
inconnu,
fépilée,
sales,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
jeu,
sm,
attache,
humour,
... contre mon clitoris. Surprise, je sens immédiatement une vague de plaisir m’envahir et tendre mon ventre. Mes hanches commencent involontairement un lent va-et-vient. Si mon amant était là, je serais maintenant prête pour lui. J’ai une folle envie de me sentir pénétrée, fouillée, écartée par son membre distendu. Je suis trop exigeante sur ce point, trop avide d’être longuement remplie par un solide morceau de chair avant de jouir. Marie aura de la peine à me faire décoller en restant en surface. — Et de six… Cette diable de fille doit percevoir mes pensées secrètes comme si elle lisait en moi. Sans plus attendre, elle plonge sa langue aussi profondément qu’elle peut dans mon vagin, mimant les pulsations qui parcourent une pine prête à exploser. C’est divin, les souvenirs de mes derniers ébats avec mon chéri m’excitent autant que sa caresse. Je le sens vivre au fond de moi, il se tend, il me regarde de ce regard implorant qu’il a, juste avant de cracher toute sa sauce. Si je la laisse faire, Marie va me terrasser avant le dernier round. — Et de sept, dis-je dans un gémissement de plaisir qui lui fait interrompre son geste. Sûre d’elle, elle sent qu’elle est en bonne voie pour réussir. Posant ses mains contre le creux de mes genoux, elle prend à nouveau tout son temps. Elle me caresse délicatement les jambes, contemple ma vulve béante comme si elle cherchait où porter l’estocade, avant de revenir s’occuper de mon petit bouton d’amour. Au risque de perdre deux points d’un ...
... coup, elle le fait vibrer de plus en plus vite contre sa langue, puis le glisse entre ses lèvres et le tète comme un nourrisson affamé. Un nouveau cri de plaisir m’échappe, mon ventre se tend à la recherche de la délivrance, les premiers spasmes montent du fond de moi. Magnanime, et reconnaissante du bonheur qu’elle est en train de me donner, je ne compte qu’un point. — Et de huit… Ses doigts caressent alors mes jambes et mes fesses de plus en plus sensuellement, faisant participer tout mon corps à cette fête. J’adore me sentir désirée de la sorte. Elle prend son temps, amusée par les mouvements involontaires de mon bassin que ses attouchements provoquent. Puis elle plonge entre mes fesses, la langue dardée, et enfonce d’un coup sa pointe dans mon anus. Je sursaute. La caresse est inhabituelle pour moi, mais délicieuse venant d’une femme aussi habile. J’ai envie qu’elle me fasse craquer, maintenant. J’ai envie d’elle, douce, belle, excitante, envoûtante… Je descend mon bassin à sa rencontre et m’ouvre pour elle, aussi largement que possible. Elle s’amuse à me lécher, me mouiller, me pétrir savamment de son instrument de plaisir. Quelle experte, quelle amante merveilleuse. Je la laisse faire, ma volonté est peu à peu engourdie par des sensations très diverses. Soudain, juste avant d’avoir le temps de compter neuf, et de me laisser glisser dans un orgasme maintenant inéluctable, le portable d’urgence sonne. J’avais complètement oublié que j’étais de garde ce soir. À la troisième ...