1. Le collier


    Datte: 13/09/2020, Catégories: f, ff, ffh, fbi, inconnu, fépilée, sales, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral jeu, sm, attache, humour,

    ... sonnerie, je saute sur mon sac échoué non loin de nous et en extirpe l’instrument de malheur. Puis je viens vite reprendre ma place contre les lèvres toutes chaudes de ma maîtresse soumise. Je tente de dialoguer de manière compréhensible avec l’appelant, entre deux halètements. C’est un client détestable, qui a laissé son chien malade, sans soins, depuis plusieurs jours, et qui, bien évidemment, exige une consultation immédiate. Le chien souffrant depuis trop longtemps, je ne peux m’y soustraire et tente de mémoriser son adresse pour passer chez lui au plus vite. Pendant la conversation, Marie s’est appliquée à entretenir mon désir, en profitant de mon inattention pour me prodiguer de ses mains des caresses interdites. Elle y a parfaitement réussi, et malgré ma colère contre l’importun, je suis à nouveau au bord de l’orgasme. Mais l’intermède téléphonique m’a remis en tête que notre soirée avait commencé par un jeu de domination. Je ne peux donc pas laisser son indocilité impunie. D’autant que je la sens de plus en plus excitée par nos échanges, et qu’il est hors de question qu’elle s’octroie du plaisir sans que je le décide. Je me lève donc, en mimant la colère, et lui signifie vertement qu’elle n’échappera pas à la punition prévue, puisqu’elle a triché. Pour le moment, je me contente de la plaquer au sol en posant mon pied sur sa poitrine. Je descends ostensiblement ma main le long de mon ventre, mes doigts remplaçant les siens contre ma fente. J’écarte bien les jambes ...
    ... pour qu’elle ne perde pas une miette de ce que je vais m’offrir. Sa respiration s’accélère au fur et à mesure que je caresse ma chatte et que je fais monter le plaisir en moi. Ma vulve est gonflée de désir, juteuse et superbement enflammée. Je la sens crever d’envie de se caresser en me contemplant, mais je l’en dissuade d’un regard noir. Frustrée, elle doit se contenter de me regarder faire. J’en rajoute une couche en gémissant de plus en plus fort, au rythme de mes caresses. — Je vais jouir maintenant, regarde ce que tu as été incapable de me donner. La fin de ma phrase s’étrangle dans ma gorge. Une caresse un peu plus appuyée provoque l’étincelle libératrice sur mon clitoris, qui met le feu aux poudres. Je suis secouée de haut en bas, ma chatte se contracte violemment contre mes doigts et laisse échapper des petites coulées de mouille le long de mes cuisses. Mes jambes faiblissent d’un coup. Je m’effondre sur le ventre de Marie. Très doucement elle me serre entre ses bras, murmure des mots tendres en caressant mes cheveux et en m’embrassant, jusqu’à ce que la dernière vague de plaisir s’éloigne. Il faut que je me reprenne rapidement, sinon je n’aurai plus le courage de repartir au travail. L’orage passé, je me rhabille et exige qu’elle me suive dans ma voiture. Guiness nous regarde partir sans trop comprendre, mais confiant de nous revoir très prochainement pour la suite de ces joutes. Son œil malicieux laisse supposer qu’il ne se fait aucune illusion sur ce qui nous lie ...
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