1. Le collier


    Datte: 13/09/2020, Catégories: f, ff, ffh, fbi, inconnu, fépilée, sales, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral jeu, sm, attache, humour,

    ... maintenant. Le client est encore pire que ce que j’imaginais. La cinquantaine mal soignée, il nous accueille en survêtement douteux. Son chien aboie à pleins poumons en nous voyant. Le pauvre souffre de vomissements depuis trois jours, que son maître n’a pas cru bon de faire soigner avant ce soir. Il achève de me mettre hors de moi en nous reluquant comme un obsédé. — Ben, au moins, j’ai droit à deux jolies pépées, ce soir. J’avais bien raison d’appeler le service de garde.— Que ce soit tout à fait clair, je suis la doctoresse Simon, et voici Mme Laforgue, mon assistante pour ce soir. Je ne vois de pépée nulle part…— … Et vos assistantes portent toujours un aussi joli collier autour du cou ? Dans notre émotion du départ, nous avions complètement oublié ce détail. — Estimez-vous heureux que nous nous soyons déplacées ! Le reste ne vous regarde pas. Maintenant allez chercher votre chien, faites-le taire et laissez-nous l’examiner. Après un regard appuyé et lubrique sur les formes généreuses de mon aide improvisée, il s’exécute de mauvaise grâce. Je demande à Marie de tenir le malade pendant que je l’ausculte, sans prévoir qu’elle n’est pas aussi expérimentée avec un chien qu’avec ma chatte. Le clébard se retourne à la vitesse de l’éclair et enfonce ses crocs dans sa main. Elle crispe les mâchoires sous la douleur, et accuse le choc en silence. Poursuivant notre jeu, elle trouve même le courage de s’excuser en baissant les yeux remplis de larmes retenues. — Pardonnez-moi, ...
    ... maîtresse, je n’ai pas été assez attentive Je suis désolée pour elle, mais, d’un autre côté, cette mésaventure ne me déplaît pas. Ce qui fait mon quotidien vient avantageusement remplacer toutes les punitions que j’aurais pu lui faire subir pour son échec de tout à l’heure. C’est ce que je lui dis en regardant le sang couler sur ses doigts. Je sors tant bien que mal un cocktail à administrer au chien et rédige une ordonnance pour des médicaments à aller chercher demain en pharmacie. Le type, flairant la bonne occasion, vient au secours de Marie. Il prend sa main, avec une étonnante prévenance chez un rustre de ce genre et propose de lui mettre un pansement, évidemment hors de ma vue, à la salle de bain. Une fois qu’ils ont tourné le dos, je fixe le chien d’une main ferme sur la nuque, et injecte les médicaments de l’autre. Comprenant que je serai sans pitié en cas de réaction, il renonce à se défendre, et, la queue entre les jambes, file se cacher dans sa corbeille. Sitôt la blessure soignée, Marie et son soupirant reviennent vers moi. Il profite de son émotion pour caresser ses fesses à chaque pas. Une gigantesque bosse pousse entre les jambes du type, qu’il lui fait admirer en ajoutant quelques remarques épaisses sur ce qu’il envisage de faire dès qu’elle se sentira mieux. Cela paraît incroyable pour une fille que je m’étais imaginée forte et volontaire, mais elle se laisse faire, se montrant aussi soumise avec lui qu’avec moi. Craignant que la situation dérape, je la prends à ...
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