Mon mari me livre à ses amis suite N°1
Datte: 14/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Romuald, le premier ami de mon mari me dit alors de m'approcher de lui en marche arrière (toujours sous la table. Il me prit alors les mollets et les releva afin de faire reposer mes cuisses sur les siennes. J'avais alors les fesses qui dépassaient du bord de la table et qui se trouvaient juste au raz de celle-ci. Afin d'être encore plus à sa portée, il me dit d'appuyer mes seins sur le sol et de mettre mes mains derrière mon dos. La position était inconfortable, et j'étais maintenant à sa merci. Il attrapa alors la bouteille d'huile qui était sur la table et m'en versa sur l'anus. Puis de ses doigts, il l'étala sur mon sexe, mes fesses ainsi qu'à l'intérieur de mes orifices. M'ayant bien graissée, il demanda à Sébastien s'il avait quelques légumes afin de leur montrer comment il faisait un pot-au-feu. Ils se mirent alors à rire de concert et mon mari s'empressa d'aller chercher ce qu'il lui avait demandé. Il revint avec un cabas assez rempli quelques instants plus tard. Romuald pris alors un concombre de bonne taille et l'appuya entre les lèvres de mon sexe en me disant de me laisser faire, sinon il essaierait encore plus gros. Le légume me distendait les chairs, mais au lieu de s'émouvoir de mes cris, ça avait l'air de les exciter davantage. Il l'avait rentré d'une dizaine de centimètre quand je crus défaillir. Mais loin de se contenter de si peu, il continua à appuyer afin de le faire entrer encore plus loin.J'en avais vingt-cinq centimètres dans l'utérus lorsqu'il ...
... s'arrêta. Il annonça alors la suite, disant qu'il fallait y rajouter une carotte. Il en choisit une grosse, environ une fois et demie la taille d'un sexe. Il en posa la pointe sur mon anus et força le sphincter. Je jetai un cri qui les amusa fortement. Il appuya encore me faisant gémir par l'écartement imposé. Il me tendit alors des oignons et me dit alors de les éplucher avec mes ongles. Pour cela je devais mettre mes mains en avant et ne garder l'appui que sur mes seins. De cette manière je les écrasais sous mon torse, souffrant fortement de la position. L'épluchage des oignons me fit couler de nombreuses larmes, mais mon mari me dit que celles-ci n'étaient qu'un début. Une fois les oignons épluchés, il retira les légumes que j'avais dans mes trous pour me les enfiler à la place. Sur le moment je ne ressentis rien, mais très vite, une brûlure qui me ravagea l'intérieur de la matrice et de l'intestin. Je me tortillais pour y échapper. Je reçus alors une claque monumentale sur mon fessier qui me rendit docile. Armand, le troisième, lui dit alors qu'un bon pot-au-feu se dégustait avec de la moutarde forte. Je les suppliais alors de m'épargner, leur disant que j'étais prête à tout, mais que j'avais déjà trop mal. D'une autre claque sur mon postérieur ils me firent à nouveau taire en me disant que ce n'était encore rien pour le moment et que si je ne coopérais pas, il m'en cuirait autrement.Il attrapa alors le pot de moutarde puis plongea ses doigts à l'intérieur, il m'enduisit la ...