Comment devenir... dingue ?
Datte: 15/09/2020,
Catégories:
grp,
inconnu,
nympho,
bizarre,
magasin,
contrainte,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
... gorge restait totalement sèche. Une femme se jeta sur moi et m’embrassa violemment. — Je veux ta queue !!! Elle aurait aussi bien pu me demander sa dose de cocaïne. Je parvins encore une fois à l’éloigner. Elle se laissa tomber par terre et, les jambes écartées, commença une furieuse masturbation. — Bouffe-moi la chatte, alors ! Fais quelque chose bordel. Putain d’impuissant aux couilles molles. Mon bas-ventre sembla se déchirer. L’insulte était sans doute la seule solution pour me faire craquer. Déboutonnant mon jean, je me glissai entre ses jambes. Agile de ses pieds, elle fit descendre le pantalon jusqu’à mes chevilles. D’un coup de rein, je m’engouffrai dans son sexe. Humide depuis longtemps, elle soutint l’assaut avec un râle de plaisir. Ooh ! Bon sang ! Son jus était un baume ! Je glissais en elle et la douleur disparaissait. Ma colonne vertébrale lâcha une série de craquements à mon troisième va-et-vient pour, enfin, retrouver toute sa souplesse. Elle m’attira contre ses lèvres, ce qui fit craquer les os de ma nuque. Mais à peine avions-nous partagé ce baiser, qu’une seconde furie vint s’asseoir sur le visage de ma compagne et qu’une queue raide se présenta devant mon visage. Je ne perdis par une seconde en réflexion. Sortant ma langue, je lapai le sexe sur toute sa longueur. — Pompe-moi, me dit l’homme.— Putain de connerie de saloperie de bordel de merde !!!! Je me dégageai du trio en me frottant la bouche. Nullement gêné de ma fuite et encore moins impressionné par ...
... ma courte litanie, l’homme prit tout simplement ma place dans la chatte gourmande. Je me reboutonnai et continuai à marcher dans cette Sodome de quartier. La douleur était revenue, plus féroce qu’auparavant, le sang cognant dans mes tempes. Une fièvre semblait s’être emparée de moi. Si la plupart des groupes ne faisaient pas attention à moi, d’autres tentaient de m’entraîner dans leur orgie. Je résistais le plus possible. Ce n’était plus du sexe, mais de la boucherie. La vision de trois queues écartelant le même trou termina de m’achever et me coupa les jambes. Je vidai mes tripes dans un coin et tentai de me relever. Je tremblais de tout mon corps, sauf des jambes qui restaient flasques. Tu m’étonnes ! Vu ce qu’il fallait pour faire grossir mon sexe, il en restait peu pour le reste de mes membres inférieurs. Tant pis pour les filles, il me fallait partir au plus vite ou craquer et perdre le peu de conscience qu’il me restait. « Je rampais. * * Je parvins à me redresser.» Assez, pour envoyer un coup de coude à mon croque-mitaine familier. Marala m’avait dit que les fruits des manteaux de fourrure ne quittaient jamais la forêt. Elle avait tort. Mon coup l’éloigna assez de moi pour que je puisse prendre le temps de me relever. Mes jambes étaient chancelantes, mais il fallait que je tienne debout. Au premier pas, je fus déséquilibré par mon pantalon. Je voulus me retenir aux présentoirs, mais ces derniers, ne soutenant pas mon poids, me suivirent dans ma chute. Vacherie ! Avec un ...