1. La Chaîne d'Informations (1)


    Datte: 16/09/2020, Catégories: Lesbienne

    ... restait bien entendu purement professionnel. Un soir que j’étais chez elle, Daniella me proposa de rester boire un verre. C’était l’été : elle était vêtue d’un T-shirt et d’un minishort. Pour ma part, je portais un chemisier dont j’avais ouvert quelques boutons, laissant apparaître ma poitrine dénudée ; Daniella le remarqua : — Ton décolleté est impressionnant ! me lança-t-elle. — Tu n’es pas mal non plus de ce côté-là, répondis-je. — Attends ! Tu n’as encore rien vu ! Alors elle retira son T-shirt : ses deux beaux seins tout ronds se trouvaient là, devant mes yeux ! J’étais étonnée de son audace soudaine : et surtout je me délectais de ses petits tétons qui pointaient effrontément ! Ne s’arrêtant pas là, Daniella approcha sa main droite de mon buste, elle effleura mes seins. Tout à coup, ce fut comme une révélation : il y avait quelque chose de spécial entre Daniella et moi ! Je pris conscience de ce que j’avais ressenti tout au long de notre collaboration ; ce que j’avais pris pour une simple relation amicale était en réalité un lien très fort entre elle et moi. Prise d’un élan de tendresse à l’égard de Daniella, je me défis de mon chemisier et je vins me blottir contre ses seins, collant mes lèvres sur ses lèvres, en un baiser profond. Très rapidement, je me retrouvai allongée dans le lit de Daniella. Elle me léchait délicatement la pointe des mamelons tout en titillant mon petit berlingot... Je goûtais des plaisirs jusque-là inconnus mais inoubliables. Tout le week-end se ...
    ... passa chez Daniella, entre le lit et le canapé. Dès le lundi, nous devions toutes les deux retourner à notre vie professionnelle. Ce fut extrêmement difficile pour moi de me concentrer sur mon travail car Danielle était constamment présente à mes côtés ! J’avais tellement envie de l’enlacer... nltniij Le soir même, je la retrouvai chez elle. Son grand lit était devenu notre lieu préféré pour explorer les positions du Kamasutra lesbien. Nous étions allongées tête-bêche l’une sur l’autre, ainsi je pouvais lécher son bouton de rose tandis qu’elle me rendait la politesse. Au fil des jours, je sentais que notre complicité allait croissante : ses cris aigus trahissaient les orgasmes répétés que je lui procurais. Je n’avais pas à me plaindre non plus : ses caresses buccales ne rataient pas leur cible ! Parfois nous nous allongions de telle manière que son abricot se colle sur ma figue ; nous nous frottions longuement l’une avec l’autre et cela nous procurait un orgasme parmi les plus raffinés. Un soir, Daniella voulut varier les plaisirs en jouant la femme soumise ! Elle me prêta des accessoires et ce fut facile de l’attacher aux barreaux du lit avec une paire de menottes et des cordelettes. Je prenais, il est vrai, un certain plaisir à la fouetter sur le dos et sur la croupe. J’avais l’impression qu’elle était ma chose, mon esclave. En somme, elle me permettait d’inverser les rôles ! Mais bien vite, nous nous sommes lassées de ce petit jeu. Après quelques mois, Daniella me fit une ...