1. La première fois


    Datte: 16/09/2020, Catégories: fantasme, ff, ffh, Collègues / Travail voiture, amour, Oral

    ... nous ont disparu, on est seules, seules dans cette immense salle café, chargées de désir. Je continue de me rapprocher d’elle ; va-t-elle me mettre une gifle ou bien me laisser faire ? J’avance prudemment sous son regard ardent, je suis si proche d’elle que je peux sentir son souffle. Le haut de mes jambes s’appuie sur ses genoux et je m’incline vers l’avant pour atteindre ses lèvres. Je place mes mains sur la table de part et d’autre de ses hanches, histoire de ne pas me vautrer lamentablement sur elle. Je m’arrête à quelques centimètres de ses lèvres. Si elle ne refuse pas, elle fera le reste du chemin, sinon tant pis, avec regret je retournerai d’où je viens. Toujours à quelques centimètres de sa bouche, j’attends quelques secondes. Elle a les yeux qui pétillent, elle regarde mes lèvres entrouvertes puis elle sourit et lance sa bouche à ma rencontre. La masse charnue de ses lèvres vient s’écraser sur les miennes. Elle attrape le col de mon polo et le tire délicatement vers elle pour que nous ne perdions pas le contact. Je suis aux anges, elle embrasse encore mieux que je ne pouvais l’imaginer. Mon cœur rate un battement quand sa langue se faufile pour enlacer la mienne, son contact est doux et je fonds littéralement. Elle tire toujours sur mon col et elle bascule de plus en plus jusqu’à ce qu’elle soit complètement couchée sur la table et moi pratiquement allongée sur son corps. Elle entoure mes jambes des siennes, je suis bloquée elle tient mon col et mes jambes sont ...
    ... scellés dans les siennes ; de toute manière, je ne comptais pas m’échapper. Elle se relève à demi et reprend presque sa position initiale, trouvant la position sûrement inconfortable. Je suis le mouvement mais dérive vers son cou, je promène ma bouche le long de son épiderme, je la mordille, l’embrasse tendrement, je laisse traîner ma langue jusqu’à ce que je retrouve la chaleur de sa bouche. Elle est excitée, son bassin commence à bouger contre ma cuisse. Assise sur la table, moi debout devant elle, elle attrape de ses doigts fins la base de mon haut et commence à me le retirer. Pendant ce temps-là, je lui agrippe sa longue couette sur laquelle je tire délicatement ; je repars dans le creux de sa gorge, virevoltant d’un côté à l’autre en intercalant baisers et mordillements. Quand elle eut fini de me déshabiller, ce fut à mon tour de l’effeuiller un peu. Je pris mon temps mais je défis les boutons de son ceinturon et lui enlevai complètement pour le poser bien plus loin, toujours avec une grande délicatesse car son arme est chargée. Je retourne donc à sa hauteur pour continuer ce que j’avais commencé. Tout en l’embrassant, mes doigts descendent et dégrafent le bouton de son pantalon et sa fermeture Éclair. Au même point vestimentaire, je la serre contre moi, nos ventres se touchent et ondulent sous les respirations saccadées de notre désir. Je la tire un peu vers moi pour qu’elle puisse rester assise mais tout de même avoir les pieds au sol. J’entreprends une ascension ...
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