1. Vive la Normandie


    Datte: 17/09/2020, Catégories: fh, 2couples, couplus, cocus, Collègues / Travail piscine, campagne, Oral pénétratio, fsodo, échange,

    ... est un peu tôt pour dîner, aussi je propose une partie de cartes. La réponse ne se fait pas attendre : les filles se moquent de moi en insinuant que j’ai une idée derrière la tête, qu’elles me voient arriver avec mes gros sabots et qu’elles savent très bien que c’est un strip-poker que je veux. La réaction d’Anne me surprend car elle est totalement complice avec Lise. Je propose alors un film, mais sans plus de succès. — Chéri, si tu leur montrais notre album photos et nos vidéos ? demande alors ma femme. Maintenant, je comprends son attitude. Elle veut avancer ses pions. — Tu es sûre ? demandé-je.— Mais oui ; n’est-ce pas, Lise ? N’est-ce pas, Robert ? Ils acquiescent sans vraiment savoir. Notre album est en réalité un DVD sur lequel sont stockées des photos et des vidéos enregistrées pendant nos ébats avec d’autres couples. C’est Anne qui en est la vedette. Je suis peu présent car c’est souvent moi l’opérateur. Si, au lieu d’être classées par ordre chronologique, les images l’étaient par situation, on pourrait leur donner des titres du genre :Anne se fait sucer ; Anne suce ; Anne se fait prendre, devant, derrière ; Anne avec deux hommes ; etc. Il est vrai qu’une description de ce type pourrait donner une idée bien peu engageante de nos aventures. Mais la réalité est bien plus agréable à regarder, et nos invités ne quittent pas l’écran des yeux. Je suis certain que Robert bande et cette certitude me plaît. Lise semble, elle aussi, troublée. Son regard passe de l’écran à ...
    ... Anne, comme si elle doutait que ce soit la même femme sur l’écran et à côté d’elle. Le DVD s’arrête. Un ange passe. Un œil avisé pourrait voir que, bien qu’asexué, il transpire la sensualité. L’écran maintenant éteint, la pièce n’est plus éclairée que par les bougies et le feu que je relance de quelques bûches. Je remplis les coupes de champagne et les gorges sèches peuvent s’épancher. — Et si nous dansions ? C’est Anne qui lance cette idée et qui, sans attendre de réponse, branche la chaîne et choisit un morceau. — Monsieur mon mari veut-il inviter notre amie, pendant que je danse avec Robert ? demande-t-elle, espiègle. Je retrouve le contact du corps de Lise. Les slows s’enchaînent. Encore une fois, c’est Anne qui donne le « la ». Sa robe est à terre et elle nous apparaît dans une tenue coquine. Une femme nue, c’est beau. Mais une femme avec des sous-vêtements bien choisis, c’est autre chose. Le string avec pour seul tissu un étroit triangle qui ne sert que de prétexte pour des ficelles passant sur les hanches, et ce soutien-gorge qui ne fait que soulever ses seins, laissant les tétons darder de ses lobes arrondis, sont des merveilles. Son cavalier a déjà perdu sa chemise et les poitrines se cherchent. Lise et moi devons relever le défi, et j’ai l’agréable surprise de découvrir que ma cavalière est en accord avec l’ambiance. Je reconnais sur elle l’ensemble que j’ai offert à ma femme pour je ne sais plus quelle occasion. Slip et soutien-gorge rouges, largement fendus dans une ...
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