Vive la Normandie
Datte: 17/09/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
piscine,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
... invités tous les deux, le week-end à votre convenance. —ooOoo— La réponse ne s’est pas fait attendre et cela m’a rassuré. Je craignais un refus de son amie. Je suis plus âgé, et bien que j’aie du succès avec les femmes, j’aurais pu lui déplaire. Indépendamment de leur réponse positive, c’est le fait qu’ils soient venus dès le vendredi soir qui a enflammé notre libido. Vendredi a juste été une prise de contact : dîner, bavardage ; les premiers échanges sont chaleureux. Ils ont eu la même idée – ou envie – que nous, et comme leur chambre est juste à côté, nous les avons entendus faire l’amour. Nous leur avons répondu, surtout Anne, qui peut être extravertie dans sa jouissance. —ooOoo— Le lendemain matin, déjà complices par ces échanges sonores, nous nous partageons les tâches. Lise et moi allons au marché pendant que Robert et Anne doivent s’occuper du reste. Je prétexte le besoin de placer rapidement au frais les homards que nous venons d’acheter pour revenir à la maison plus rapidement que prévu. Je sais que le test est en place car nous sommes convenus d’un scénario avec ma femme ; nous avons déjà vécu des échecs avec des couples qui se croyaient libres, mais qui au dernier moment se sont transformés en couples hurlants et prêts à en venir aux mains. Aussi, ce test doit servir à vérifier que nos invités sont assez libres pour ce que nous envisageons. La cuisine, comme toutes les pièces de la maison, donne sur la piscine. Pendant que je range les homards au frigo, ...
... naturellement, Lise se dirige vers la fenêtre. Nul besoin de voir : je sais ce qui se passe à quelques pas, sur la terrasse. Je ne suis pas devin, je ne sais pas où ils en sont, mais je sais qu’Anne et Robert font l’amour. Je ne connais pas beaucoup de gars capables de résister à ma femme, surtout lorsqu’on a déjà goûté à ses délices, et c’est le cas de Robert. J’observe d’un œil l’attitude de Lise lorsqu’elle les découvre. Pas de cri, pas de sursaut. Elle regarde, c’est tout. Je la laisse un moment, puis m’approche. Je suis à son côté, mais en retrait. Bien sûr, elle sait ma présence mais ne réagit pas. Je me penche près de son oreille, et dans un murmure lui susurre : — Ils sont beaux, n’est-ce pas ? Je n’attends pas vraiment de réponse, mais sans cesser de regarder elle répond : — Oui. C’est vrai que le spectacle que nous offrent nos conjoints est des plus agréables. Anne chevauche son amant. Si lui, allongé, ne peut nous voir, je sais que ma femme qui est face à nous, les yeux presque clos, comme concentrée sur son plaisir, surveille notre présence. Elle monte et descend sur la verge bien raide, lentement, doucement, avec cette gourmandise qui la caractérise et qui lui fait obtenir le meilleur de ses amants. Lise regarde, presque hypnotisée. Je me déplace pour me placer derrière elle, mon corps collé contre le sien. Nous ne formons plus qu’un et elle ne refuse pas la pression de ma verge, maintenant tendue, contre ses fesses. Tendrement, je l’embrasse dans le cou, sous l’oreille, ...