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Christine I : Prémices et frustrations (4)
Datte: 12/10/2017, Catégories: Hétéro
Samedi 17 juin 1995, Floriane, la sœur de Christine, n’est pas à la maison non plus lorsque j’arrive vers 19h. Divine surprise, je découvre Christine en courte jupe plissée. C’est la première fois que je la vois en jupe. Je lui dis que je la trouve adorable et elle sourit en rougissant. Dessous, je remarque qu’elle porte ce que je suppose être des collants noirs. Il faut dire que ce samedi est particulièrement frais pour la saison. Nous nous asseyons dans le canapé et commençons à nous embrasser. Elle me dit que sa sœur ne devrait pas tarder à rentrer et qu’elle n’est pas au courant de notre situation. Nous nous embrassons cependant de plus belle. Je ne peux m’empêcher de la peloter à tout va, j’adore ça et elle n’a pas mis de soutien-gorge. En l’embrassant à nouveau, je lui caresse doucement les tétons à travers son chemisier et elle gémit tendrement. Du bruit dans le hall d’entrée, sa sœur arrive et nous cessons tout contact. Elle me salue puis monte à l’étage en nous souhaitant bonne soirée dans un grand sourire. Nous pouvons reprendre nos étreintes. Comme je meure d’envie de lécher ses seins, je tente d’ouvrir son chemisier, mais elle me retient en indiquant le plafond. Je lui dis que les escaliers de bois font suffisamment de bruit pour qu’on l’entende si elle descend, d’autant plus que nous sommes précisément sous cet escalier. Je commence à caresser sa cuisse et remonte doucement sous sa jupe. Ce que je découvre me stupéfie : Christine a mis un porte-jarretelles ! Je ...
... cesse de l’embrasser; un sourire lui barre le visage. Fière, elle dit : — J’ai cru comprendre l’autre jour que ce genre de dessous te plaisait beaucoup alors j’en ai acheté un ! Mes yeux doivent briller de plaisir. Je relève sa jupe pour mieux le voir. Christine ne porte pas de string non plus et son sexe est désormais orné d’un ticket de métro broussailleux. Nous reprenons nos baisers langoureux. Je glisse ma main entre ses jambes et caresse sa chatte. Elle gémit doucement et parvient quelques minutes plus tard à l’orgasme. Christine se détend et se love contre mon épaule. Cependant, sa main ne quitte pas mon entrejambe. Je sens bien qu’elle est très excitée. Alors je refais une tentative pour ouvrir son chemisier et cette fois-ci, Christine me laisse ouvrir deux boutons. J’y glisse ma main et la pelote. Elle gémit encore. N’y tenant plus, je l’ouvre plus largement et goûte à ses seins délicieux. Je sens sa main ouvrir ma ceinture, mon pantalon, puis baisser mon caleçon. Je lui lèche toujours délicatement les seins tandis qu’elle commence à me branler. Je suis aux anges. Christine me repousse au fond du canapé, descend vers mon sexe et le prend dans sa bouche. Elle me lèche d’abord doucement et petit à petit, elle gobe ma bite. Il faut le dire : elle a bien retenu la leçon et sa fellation est assez intense. Je profite de l’instant, mais le plafond craque. Christine se relève vivement et se reboutonne. Fausse alerte, sa sœur s’est simplement déplacée et elle reprend à nouveau ...